Compte rendu de LA VENUS D ILLE
Prosper Mérimée (28/09/1803-23/09/1870) a écrit «la Vénus d’Ille» en 1835. Le livre fut publié en 1837 alors qu'il avait 34 ans. Il écrivait principalement des nouvelles. En 1844 il fut élu à l’Académie Française. Son livre le plus connut était «Vision de Charles XI».
L’histoire de la Vénus d’Ille se déroule à Ille-sur-têt, petit village de Pyrénées-Orientales. Dans les premières pages de cette nouvelle on aborde le narrateur guidé par un catalan qui le mène à la demeure de M. de Peyrehorade, ou il est invité par ce M. de Peyrehorade pour vérifier les écritures notées sur une statue appelée «Vénus» découverte il y a de cela peut sous un Olivier.
Alors que le narrateur se rend au village pour examiner la statue, son guide lui demanda la raison de sa venue dans la région, et si ce fut pour le mariage du fils de M. de Peyrehorade. Le narrateur lui répondit qu’il était là seulement pour voir «la Vénus», puis il lui demanda à quoi ressemblait «la Vénus»: «Elle est en cuivre, une grande femme noir à moitié nu avec les yeux blanc». Le guide lui expliqua que dans le village la statue n’était pas bien vue. Lors de sa découverte, quatre hommes étaient chargés de la dresser mais la statue tomba et brisa net la jambe d’un des porteurs. Depuis, la statue avait la réputation de porter malheur.
Quand le narrateur arrive chez son hôte, il est reçu par M. de Peyrehorade, Mme Peyrehorade et leur fils Alphonse de Peyrehorade et es convié à un repas. C’est une famille paisible et d’un sens de l’hospitalité des plus chaleureux. M. de Peyrehorade un vieil homme timide, effacé, parlant peu et à l’air jovial et plein de vie pour son âge. Alphonse, le futur marié, était grand, musclé et était un excellant et infatigable joueur de paume, Alphonse aimait «la Vénus» presque autant que sa future femme et venait la voir tous les soirs. Quant à elle Mme de Peyrehorade est une femme parfaite, à la fois bonne épouse, bonne mère et maîtresse de maison accomplie