Commentaire écrit : le jeu de l’amour et du hasard, marivaux act iii scène 7
. Dans cette scène, Arlequin est présenté comme un valet qui en plus de vouloir épouser la maîtresse, Silvia, à surtout épousé son déguisement de Maitre. Arlequin tente de monopoliser la parole avec trois grandes tirades. Il ne cesse de jouer de ses mots. Il use du comique de mot pour faire transparaitre une position de force et une grande assurance : « La pauvre enfant » « Cœur bien malade ». Il est comique de savoir qu’Arlequin simple servant décrit ici une noblesse d’une telle manière. Marivaux nous plonge dans le grotesque. Entre outre, Arlequin se comporte comme un noble en crée une distance entre lui et la basse société « la casaque » « souquenille », et tente de lier ce champ lexical à Dorante : « Votre friperie », « Vos petites manières ». Arlequin semble avoir oublié qui il est réellement. Il adopte les manières du jeune noble à travers son langage : « Pousser ma pointe »… Ces mots font référence à l’escrime, un sport régulièrement pratiquée à l’époque cependant réservé à la noblesse. . Dorante