Commentaire de texte : ovide, ovide, ovide, ovide, ovide
Il se met en avant en citant par exemple les pays qu’il gouverne « C’est à moi qu’obéissent le pays de Delphes et Claros et Ténédos et la résidence royale de Patara ». Il n’oublie pas de notifier qu’il est le fils du roi des dieux « j’ai pour père Jupiter » et qu’il est donc lui aussi un dieu. Il dit aussi « tu ne sait pas qui tu fuis », ce qui signifie qu’il est quelqu’un d’important. Apollon n’hésite d’ailleurs pas à rabaisser les bergers et habitants de la montagne pour montrer à Daphnée qu’il est meilleur qu’eux : « je ne suis pas un habitant de la montagne, ni un berger, un de ces hommes incultes qui surveillent les bœufs et les moutons », il se met sur un piédestal par rapport à eux, …afficher plus de contenu…
Il espère la prendre par les sentiments et toucher son égo en la complimentant. 2) L’amour que ressent Apollon envers elleApollon admet aussi les sentiments qu’il éprouve envers Daphnée : « c’est l’amour qui me jette sur tes traces » il parle d’amour ; « Apprends cependant qui tu as charmé » il admet avoir été charmé par la nymphe. Même si dans sa tirade Apollon est parfois méprisant avec Daphnée, ce n’est dans qu’un seul but : la charmer.