Commentaire de texte belle du seigneur
Solal se fait même ironique en envisageant certaines situations avec le parallélisme de construction « Oh, être un facteur et lui raconter sa tournée ! Oh, être un gendarme et lui raconter un passage à tabac !» (l.17 et 18), l’accumulation « du vivant, du vrai, du solide » (l.18 et 19) et l’exclamation « Oh, si la tendresse pouvait suffire à contenter une femme ! » (l.19). Puis, on constate que Solal est un personnage désinvolte car dès le début de l’extrait celui-ci donne une vision péjorative d’Ariane qui fait tout pour entretenir la passion sans succès exprimé avec les …afficher plus de contenu…
Il exprime un certain soulagement à l’idée d’être seul avec une certaine désinvolture avec l’adverbe « enfin » (l.2) l’expression « bonne affaire » (l.2,3), et les phrases non verbales « Dix minutes d’irresponsabilité. Toujours bon à prendre. » (l.3), ce soulagement n’est toutefois que temporaire puisqu’il envisage le retour d’Ariane et la monotonie qui va se poursuivre exprimé avec le conditionnel présent « reviendrait »(l.3), « poserait » (l.3) et « demanderait » (l.4), la proposition subordonnée interrogative indirecte « quels étaient les projets pour l’après-midi » (l.4), la métaphore « épée de Damoclès » (l.4) qui exprime une dimension tragique et la question rhétorique associée à une réponse qui mobilise une négation totale « Quels nouveaux plaisirs inventer pour camoufler leur