Commentaire traité sur la tolèrance, voltaire
Voltaire, de son vrai nom François Marie Arouet, nait en 1694 à Paris, se faisant entre 1762 et 1765, un ardent partisant de la réhabilitation de Jean Calas, protestant condamné à tort pour l’assassinat de son fils qui voulait se convertir au catholicisme.
Il dénonce cette condamnation dans le Traité sur la Tolérance, chapritre 23, écrit en 1763. Dans cet extrait Voltaire s’adresse à Dieu pour obtenir le respect de la tolérance.
Tout d’abord, nous montrerons les caractéristiques par lesquelles ce texte se rapproche d’une prière, puis nous analyserons la marnière dont cette forme donne au texte unpouvoir de pérsuasion.
Tout d’abord, Voltaire délaisse les hommes irrécupérables d’après lui, de par leur irrespect envers autruis et décide de s’adresser au symbole de l’absolu : Dieu. Pour ce faire, il emploie un discours adapté. Pour commencer celui-ci, et comme toute prière, il montre son frand respect à Dieu et sa soumission en lui rappelant son rang divin « Dieu de tous les être, de tous les mondes et de tous les temps », l’anaphore de « tous » illustre bien cette soumission.
Il le rend également créateur et de ce fait responsable de tout le bien et le mal de l’univers et par la répétition de « à toi » il lui demande de pardonner l’espère humaine qui ne sait pas profiter des biens qui doivent être sources de bonheur, devenus sources de violence.
Dans le début de sa prière, il se présente comme un homme désemparé, inférieur et respectueux s’en remettant aux conseils de son créateur. En prenant toutes les précautions, il met en avant la petitesse de l’homme avec le verbe « oser » pour insister sur le gêne.
Comme dans toutes les prières il va ensuite présenter ses vœux et la cause de cet appel à Dieu. C’est donc en utilisant l’impératif qu’il tente de formuler au mieux sa demande « daigne », « fais que ». Pour ne pas offenser Dieu, il use d’un paralléllisme « nous a point donné un cœur pour nous hair et des