Commentaire La Sauvage denouement
Intro :
En 1934 Jean Anouilh écris La Sauvage, une pièce de Théâtre qui sera jouée pour la première fois en 1938.
Cet extrait est le dénouement de la pièce. Thérèse a tenter une dernière fois d'oublier son passé de Sauvage mais en vain, elle fini donc par prendre son manteau pour partir de chez Florent. On nous présente ici le dernier dialogue entre Florent et Thérèse.
Cette fois ci Thérèse ne peux être retenu par Florent, c'est l’échec de leur couple. Cette pièce s'achève donc sur l'antagonisme des deux personnages.
Axe 1 :
Beaucoup de marques de tendresse dans ce passage ; l’échec du couple est déjà visible ; Florent ce fais une fausse image de Thérèse.
Les signes de tendresse :
Beaucoup de terme affectueux « Ma chérie » (l.6) « mon chérie » (l.24,28,30,36,31).
Gestes de Florent tendre « L'attire a lui » (l.12) « Part après un petit baiser » (l.33).
Nous sommes loin des crises des actes précédents ; Chacun ce préoccupe de l'autre ; forme de complicité.
Florent s'assure que son bonheur est partagé « Ah ! Je suis heureux, ce soir... Il fais si beau... Et toi ? » (l.25).
Il recherche l'attention de Thérèse « Tu as écoute » (l.30) « Tu m’écoutera du jardin » (l.30).
Il arrête de jouer au piano uniquement pour Thérèse « Je te cherchais... » (l.6) .
Thérèse elle comprends le désir de Florent « Je le vois a tes yeux » (l.32).
Florent veux emmener Thérèse dans les lieux qu'il affectionne pour lui faire partager ces émotions « Je voulais t’emmener dans tout les endroits que j'avais aimés... » (l.15,16); Son voyage n'a de sens que si Thérèse l'accompagne « avec moi » (l.19) « nous » (l.16).
Aveuglement de l'autre :
Malgré cette tendresse Florent se préoccupe peu des propos de Thérèse car lorsqu'elle dit qu'elle a froid l.11 il change de sujet pour parler de ses projets de voyage; Il lui impose ses désirs et ne lui demande pas son avis « nous irons voir » (l.22).
Il semble se faire une image idéalisé de