Commentaire germinal
Au début du texte il y a la description du personnage et du contexte et/ou lieu.
La déscriptions du style vestimentaire de l'homme, et les conditions météorologiques "L'homme était parti de Marchiennes vers deux heures." [L-1] "Grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de vélours. Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup ; et il le serrais contre ses flancs, tantôt de l'autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d'Est faisaient saigner " [L-1 à 4] " On sais que aussi que le jeune homme et dehors en pleine nuit " l'espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour"
Dans ce passage on a la prèsence de verbe conjugué a l'imparfait qui met en valeur :
- La descriptions "gênait" [L-2] ; "serrait" [L-3] ; "faisaient" [L-4] ; "occupait" [L-4]
- Ensuite une valeur exprimant la durée d’une action par opposition au passé simple qui est le temps de l’action brève, soudaine " Depuis une heure, il avançait ainsi, lorsque sur la gauche" [L-6]
Alors que tout a coup il aperçut "des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme suspendus."[L-7] une sorte de signe d'encouragement car il peux enfin ce délivrer un peu de souffrance "Il ne pu resister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains" [L-8]
Il y a un "Effet de disparition" a la ligne 9 avec la phrase "Un chemin creux s'enfonçait. Tout disparu"
On apercoit de nouveau qu'il y a de la description d'un contexte avec des détails bien précis " L'homme avait à sa droite une pallisade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée; tandis qu'un talus d'herbe s'élevait à gauche, surmonté de pignon confus, d'une vision de village aux toitures basses et uniformes. " [L-9/12]
Contraste entre les feux qui ont réaparuent prés de lui " sans qu'il comprît davantage comment ils brûlaient si haut dans le ciel et mort" et " au ras du sol, un autre