comment racine et les arbres loçleur
a) Un aveu direct et involontaire
-Direct → Passage du « vous » au « tu » qui marque le rapprochementI
/ Une femme passionnée
a) Un aveu direct et involontaire
-Direct → Passage du « vous » au « tu » qui marque le rapprochement et le changement de ton mais cette transition marque surtout le début des aveux de Phèdre (au vers 665 vouvoiement avec « jugez-vous » qui passe au tutoiement au vers 670 avec « tu m'as trop entendue » ; « je ne t'ai pu parler de toi-même » ; « Toi-même en ton esprit »)
→ Interjection « Ah ! » qui vient couper Hippolyte
-Involontaire → Phèdre s'exprime à travers une question qui marque la faiblesse au vers 694 « Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? » + allitération en -on qui marque la surdité.
b) Une passion violente
-Passion destructrice au vers 690 : "j'ai langui" montre qu'elle est déprimée, "j'ai séché" montre son assèchement, la perte de sa vie et le terme "feux" est l'image du feu qui la brûle. De +, antithèse avec
« larmes » opposé à « feux ».
-Passion qui l'emporte sur la raison → voc de la folie « toute sa fureur.» renforcée car fin de vers et -e muet à « toute » ; « ni que du fol amour qui trouble ma raison ».
-Elle veut échapper à cette passion → La gradation ascendante de la fuite avec « fui » et « chassé » et la résistance avec « Pour mieux te résister, j'ai cherché ta haine ».
II/ Un monstre
a) Amour coupable objet de haine.
-La haine → voc de la haine « odieux amourI
/ Une femme passionnée
a) Un aveu direct et involontaire
-Direct → Passage du « vous » au « tu » qui marque le rapprochement et le changement de ton mais cette transition marque surtout le début des aveux de Phèdre (au vers 665 vouvoiement avec «