Clytemnestre ou le crime
I. Résumé La nouvelle est construite sous la forme d'un plaidoyer. Dans lequel Clytemnestre tente d'expliquer au public la raison de son acte. Elle raconte ce qu'elle a fait tout en dévoilant son sentiment, son histoire d'un amour désespérant. Après avoir considéré un public ayant le sang froid, elle décrit son raisonnement ainsi que son acte. Elle aime son mari. Elle ne conçoit ses enfants que pour lui. Elle n'existe pas que pour lui. Lorsque son mari s'en va, elle se sent vide, elle est angoissé. L'absence de son mari lui rend jalouse. Elle ne supporte pas qu'il la délaisse, qu'il ne l'aime plus. Alors, elle va tromper Agamemnon. Pourtant, Egisthe, son amant, ne peut jamais remplacer Agamemnon. Car, aux yeux de Clytemnestre, il est comme un « enfant ». Cela dévoile la supériorité de Clytemnestre: une mère, une protectrice. Pour Clytemnestre, Egisthe est aussi comme une des femmes asiatiques que fréquente Agamemnon. Cette dimension peut être interprétée comme une relation homosexuelle. Egisthe ne peut pas apaiser la passion de l'amour de Clytemnestre. De plus, on se demande si elle préfère suicider avant que son mari revienne, ou bien le revoir pour la dernière fois. Clytemnestre choisit le pire. Elle préfère le voir avec une autre femme. Elle est jalouse. Et la vieillesse aggrave la situation: quand Clytemnestre se voit dans la glace, elle aperçoit qu'elle ne pourra jamais plaire à celui qu'elle aime. Par la haine, elle tue son bien aimé. Cependant, Clytemnstre comprend que la douleur restera et qu'elle ne pourra jamais échapper au fantôme de son mari. C'est le destin de Clytemnestre. Clytemneste est le synonyme d'un crime étant un acte