« Vingt-quatre heures de la vie d’une femme »
Stefan Zweig
(Extrait page 20-21)

I/ Introduction

Nous allons vous présentez la nouvelle de Zweig : « Vingt-quatre heures de la vie d’une femme». Tout d’abord sachez que ce récit a été écrit dans le but de faire passer le message suivant : Il vaut mieux prendre plaisir a comprendre les Hommes plutôt que de les juger.

1) Biographie de Zweig:

Stefan Zweig est né à Vienne ou il fit ses études le 28 novembre 1881.
A 23 ans il était reçu docteur en philosophie et obtenait le prix de poésie Bauernfeld, une des plus hautes distinctionslittéraires de son pays. Il avait alors publié une plaquette de vers et une traduction des meilleures poésies de Verlaine, écrit des nouvelles et une piève de théâtre.
Mais il jugeait « que lalittérature n ‘étais pas la vue » qu’elle n’était « qu’un moyen d’exaltation de la vie, un moyen d’en saisir le drame d’une façon plus claire et plus intelligible ».
Son ambition était de voyager, » dedonner à son existence l’amplitude, la plénitude, la force et la connaissance, aussi de la lier à l’essentiel et à la profondeur des choses ». Il visita donc l’Angleterre, parcourut les états unis, leCanada, le Mexique et passa un an en Inde.
Il vécut donc la première guerre mondiale qui l’a « profondément ulcéré ».
En moins de dix ans, Zweig, qui naguère n’avait considéré le travail « que commeun simple rayon de la vie, comme quelque chose de secondaire » publiait une dizaine de nouvelles.
Suite à l’arriver du pouvoir d’Hitler, Zweig partit en Angleterre. Son âme inquiète ne lui laissaitpas de repos.
Le 22 février 1942, il rédigea un message d’adieu en voici des extraits : « Avant de quitter la vie de ma propre volonté et avec ma lucidité, j’approuve le besoin de remplis un dernierdevoir : adresser de profonds remerciements au Brésil…
Mais à soixante ans passés il faudrait avoir des forces particulières pour recommencer sa vie de fond en comble. Et les miennes sont...

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