Cinema coreen
Im kwon –tack
Pendant la guerre civile il va au sud dans la ville de Pusan (Busan), une ville portuaire ou il passe la jeunesse et fait ses études. Fait du cinéma. Il est considéré comme un trésor vivant national. Il commence à faire des films de guerre, mais il dénigre ses films-là, il considère qu’il a eu un tournant dans sa vie au début des années 80, il commence à faire des films plus personnels, de guerres, de gangster, mais il donne sa propre vision. Il tourne différents sujets lie à la religion et le bouddhisme. Son premier film sort en 1952.
1981- Mandala (rupture)
Il se tourne en 1985.
1986- « la mère porteuse »
1989 « Aje Aje Bara Aje »
1993 « la chanteuse de Pansori »
Il se fait connaitre à travers des films historiques. La fin des années 80 il se fait connaitre internationalement.
Caractérise : de voir comment, par rapport à la chine et le japon, le voir leur particularité à travers de l’art.( en mélangeant les deux arts, utilisant comme une influence)
2002- « ivre des femmes et des peintures »
Histoire d’un peintre. Sujet très coréen, l’alcool et la femme. Nous pouvons comparer au Mamura mais plus recherché.
Peintre de talent et pas peintre de court, il mène sa vie comme il veut. Personnage très original. L’histoire se passe à la dernière année de la dynastie Chozun. Le réalisateur va donner de la valeur à la culture Coréenne
2007 -nouvelles versions de « la chanteuse de Pansori »
2000- « la vierge mise à nu »
HONG SANG-SOO
Fondé sur un puzzle temporel. Dans le film à la fois relation élève- maitre, et à la fois rivalité autour de l’objet féminin. Milieu de Seoul. Il y a des invariantes entre les relations entre l’homme-femme.
Hong Sang- soo
Son père était cinéaste, il a étudié le cinéma en dehors de la Corée, son premier film1997 « le jour q le cochon a tombé dans le puits » caléidoscope sur plusieurs personnages, en couleur.
Son deuxième long métrage- 1998 « le pouvoir de kangwoon »
Dans le