chocolat
Dans un premier temps, il montre la relativité des opinions d'une part et d'autre part insiste sur le fait que la vérité n'est pas jamais trouvée par l'unanimité des hommes (l. 1 à 5).
Puis l'auteur fait une hypothèse contre sa propre thèse en montrant que tous les hommes pourraient être d'accord. Mais dans ce cas l'accord des esprit ne garantit nullement le moyen pour nous même de découvrir le vrai. C'est ce qu'illustre l'exemple des mathématiques (l. 5 à 9).
Enfin Descartes choisit l'exemple de la philosophie pour illustrer sa thèse. En mettant en parallèle l'apprentissage des mathématiques et celui de la philosophie, il montre la distinction entre les sciences et l'histoire. Seules les premières permettent un jugement assuré par l'usage de notre propre raison qui est déterminant dans la recherche de la vérité. La seconde ne conduit qu'à l'érudition (l. 9 à fin).
2/des opinions.
Dans un premier temps, il montre la relativité des opinions d'une part et d'autre part insiste sur le fait que la vérité n'est pas jamais trouvée par l'unanimité des hommes (l. 1 à 5).
Puis l'auteur fait une hypothèse contre sa propre thèse en montrant que tous les hommes pourraient être d'accord. Mais dans ce cas l'accord des esprit ne garantit nullement le moyen pour nous même de découvrir le vrai. C'est ce qu'illustre l'exemple des mathématiques (l. 5 à 9).
Enfin Descartes choisit l'exemple de la philosophie pour illustrer sa thèse. En mettant en parallèle l'apprentissage des mathématiques et celui de la philosophie, il montre la distinction entre les sciences et l'histoire. Seules les premières permettent un jugement assuré par l'usage de notre propre raison qui est déterminant dans la recherche de la vérité. La seconde ne conduit qu'à l'érudition (l. 9 à fin).
2/des opinions.
Dans un premier temps, il montre la relativité des opinions d'une part et d'autre part insiste sur le fait que la vérité n'est pas jamais trouvée par l'unanimité des