Charles baudelaire et la dureté de ses poèmes
D’une part, nous verrons sa manière de veillez sur ses lecteurs et d’autre part, la dureté de ses poèmes. D’une part, Charles Baudelaire veille sur ses lecteurs. On peut le voir d’ailleurs son rapprochement avec eux sur son poème "Au lecteur" où le pronom personnel « nous » est utilisé dans tout le poème et il crée un rapprochement avec le lecteur au vers 40 « mon semblable, mon frère ». Dans son poème "Le vin de l’Assassin" qui comme son nom l’indique tourne pourtant autour du sujet d’un assassin, Baudelaire arrive à rendre le moins …afficher plus de contenu…
Dès le vers 1 il écrit : « Homme libre, toujours tu chériras la mer ! ». Il instaure aussi la notion de sérénité, d’amusement, d’insouciance, dans par exemple "Le mort joyeux" où l’homme est énormément insouciant au sujet de la mort et est même heureux de cela. Il dit au vers 10 : « Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ; » où il clame haut et fort qu’il et joyeux et encore une fois libre. Dans "Élévation" il évoque sa sérénité d’esprit lorsqu’il est en hauteur. Dans le vers 16 « S’élancer vers les champs lumineux et sereins ; » c’est flagrant. Et dans "Le Don Juan aux Enfers" où il donne un tableau de l’enfer amusant et toujours avec son air