1ère partie; croissance, capital et progrès technique. Chapitre 1: sources et limites de la croissance économique. Toute fois la diversité des rythmes et des modalités de la croissance, selon le pays et économie montrent que celle-ci est liée à d’autres facteurs (politiques, sociaux, culturels). La question se pose du rôle de l’Etat dans ce processus de croissance. Par ailleurs, la croissance est le phénomène économique qui peut aussi engendrer des dégâts environnementaux plus ou moins visibles (pollution, raréfaction ressources naturelles, modification du climat) Une prise de conscience des effets négatifs d’une production trop intensive et respectueuse de l’environnement se généralise. Mis en place de mesures destinaient à assurer le dvlt durable. Il n’est toutes fois pas compatible avec les exigences de la croissance. La croissance et le dvlt durable sont-ils compatibles ? Les réponses sont différentes. Ainsi, plus de deux siècles après la parution de l’ouvrage d’Adam Smith, « Recherches sur la nature et les causes de la richesses des nations, 1776 » Les mêmes questions sont soulevées: La croissance résulte avant tout d’une mobilisation quantitative des facteurs de production (augmentation facteur capital et travail), mais aussi liée à l’utilisation qualitative des ces facteurs dont la mesure d’avère plus délicate (amélioration facteur capital et travail = notion de productivité) Enfin, la croissance repose sur d’autres facteurs sociaux et politiques. Les sources de la croissance = quantité de capital et de travail nécessaire pour la production. + Ces facteurs augmentent, + croissance augmente, + production augmente. Cependant seule l’augmentation des facteurs de production n’explique pas à elle-seule la croissance. Les études montrent l’importance de la PGF (Productivité globale des facteurs) = capacité d’une économie à créer une croissance donc augmenter la production grâce à la combinaison des facteurs de production. (Quantité + ou