Ces plantes qui nous fascinent
?
« Sans la plante, la Terre ne vit plus, ne se chauffe plus, ne créer. La recherche en biologie végétale est aussi importante que la recherche médicale : elle est vitale. » Ce constat est une priorité pour Claire Périlleux, chargée de cours à l’Université de Liège où elle enseigne l’étude du fonctionnement des plantes. Personne ressource auprès de l’European Plant Science Organisation (EPSO), elle a convaincu ses collègues de participer à l’action menée par ce groupement de scientifiques : le Fascination of Plant Day, une journée européenne dont l’objectif est de promouvoir la recherche en biologie végétale.
Si la plupart des institutions affiliées à l’EPSO participent à cette première, le Fascination of Plant Day dépasse largement les frontières de l’Europe avec des relais en Australie ou encore, en Argentine qui bénéficie de la visibilité par le site web de l’organisation.
À Liège, l’institut de Botanique et le laboratoire du Monde (je ne suis pas sûre qu’il faut une majuscule à botanique et monde ou alors il faudrait mettre également une majuscule à institut et laboratoire) des plantes s’associent pour participer à cette journée du 18 mai. Les deux bâtiments seront reliés par une balade pédestre qui invite à la découverte des mousses et les deux équipes mettent au point un programme ludique ponctué de visites guidées, d’expositions, de démonstrations et de conférences. Au laboratoire du monde des plantes, accessible toute la journée gratuitement, trois spécialistes parleront de l’évolution des végétaux. Les visiteurs auront en outre la possibilité d’extraire un fossile d’une boule de roche, la « coal ball » ou encore d’écouter les amateurs wallons d’orchidées expliquer comment prendre soin de ces plantes populaires.
Les trésors de l’institut de Botanique (pareil, normalement il faut pas de majuscule, sauf si c’est