Cas smart management
En bref :
Au début, MCC Smart est une joint-venture entre Swatch et Mercedes-Benz.
Maintenant, c’est une filiale à quasiment 100 % de DaimlerChrysler. Sa naissance, initiée essentiellement par Nicolas HAYEK, créateur de la Swatch et pape de l’horlogerie suisse, et son organisation sont originales.
Vous apprécierez la situation exposée et analyserez sa stratégie avec un œil critique, notamment en Achats et Logistique et répondrez aux questions du cas proposé.
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Le premier principe est que chaque entreprise est une entité autonome. Les douze entreprises du site, ne constituent pas une entité économique. Il y a douze entreprises autonomes responsables de la gestion de leur personnel.
Le deuxième principe est que la gestion des ressources humaines est un élément particulièrement important pour la réussite de l'ensemble du site.
Le troisième principe est que chaque entreprise est autonome, avec une certaine latitude dans sa politique sociale. Bien que les systèmes de gestion du personnel soient différents, ils doivent rester comparables pour que l'édifice reste cohérent.
Les difficultés viennent du grand nombre de partenaires, -avec quelques 2 000 …afficher plus de contenu…
En cas de conflit, le forum se réunit pour insister sur le besoin de traiter rapidement le problème, qui menace le site.
A l’extérieur, il y a aussi des partenaires qui sont chargés d’aider à les résoudre, l’inspection du travail, etc..
Mais, Smart refuse toujours d’être juridiquement une unité économique, même s’il est parfois difficile de faire la différence entre un salarié qui travaille chez
Peguform, Valéo…, et chez Smart.
Selon les propos de M. KHUN, responsable RH Smart : « L'inspecteur du travail taquine régulièrement Smart sur le droit d'ingérence, mais, le même inspecteur du travail vient à Paris donner des conférences sur les nouvelles relations entre partenaires et donneurs d'ordres... ».
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