Cas PSA
Boubacar
BTS1 :
Cas PSALe modèle LCAG permet une analyse externe et interne de l’entreprise. Ce modèle reste une référence car il est le premier modèle d’aide à la formulation stratégique. Il repose sur l’analyse des forces et des faiblesses de l’entreprise ainsi que sur celle des opportunités et des menaces de l’environnement. Pour le groupe PSA l’analyse de ses opportunités se traduit par : La fusion de deux grandes marques d’automobile « Peugeot et Citroën », un avantage obtenus par l’état pour les constructeurs automobiles français, Une poursuite de sa croissance en Amérique latine avec une hausse de 5,5% et 67% des ventes ont augmenté en Russie 67%, et une proposition de véhicule émettant de moins de 140g de CO2/ km.
L’analyse des menaces est traduit par : La baisse des commandes, la crise économique, la hausse des prix des matières premières et la fin de la prime à la caisse.
On distingue deux types de partie prenantes au sein d’une organisation : les parties de premier niveau qui concernent l’ensemble des groupes essentiels à la survie de l’organisation : les fournisseurs, les clients, les actionnaires et les salariés ; les parties prenantes de second niveau qui ne sont pas nécessaires à la survie de l’organisation : les syndicats, les associations, les collectivités locales, les ONG. Au sein de PSA on peut observer l’influence de : l’Etat qui contribue à l’amélioration de la compétitivité de l’entreprise.
Les salariés qui négocient les conditions de travail avec l’accord présenté le vendredi 3 avril en comité central des entreprises qui va entrer en vigueur immédiatement.
Les syndicats qui ont pour objectif la négociation des rémunérations et les conditions de travail « mécontentement de l’indemnisation du chômage partiel à 100% du salaire net.
Selon Henry Mintzberg la stratégie est à la fois un plan d’action pour atteindre une situation future (stratégie délibérée) et une suite de comportements cohérents dans le temps qui ont entrainé