Cas Ad Vinam Aeternam
Synthèse du cas TD2 « Ad Vinam Aeternam »
I – Quelle est la situation de Rémi Charier ?
Le marché du vin : un secteur inconnu et difficile
Mr Charier explique qu’il s’est lancé sur ce projet plus par « passion » que « raison » et constate alors que «c’est un milieu très difficile, où on gagne peu d’argent, qui crée très peu de valeur».
Les hésitations de Rémi Charier à se lancer dans le projet
Après le début timide de son entreprise, Mr Charier se voit face à un dilemme : doit-il persévérer dans son projet ou chercher un emploi ? Peu certain de l’évolution de son projet, il s’est mit à « repenser les choses » pour se tourner vers une solution plus stable et un salaire régulier et élevé. Seulement, il a fait le choix de continuer son projet Ad Vinam Aeternam car il considère « qu’il y a des choses que vous pouvez faire plus tard et des choses qui ne peuvent pas attendre ».
L’activité se développe lentement mais sûrement
Après avoir enrichi son portefeuille client au fil du temps, Mr Charier a pu développer positivement l’activité d’AVA et s’installer dans de nouveaux locaux, et bénéficier d’une paie chaque mois. Le business est florissant : « De la chaîne Holiday Inn, on a raccroché la chaîne Radisson, on est rentré chez Marriott, à l’Armée de l’Air… ».
L’entreprise s’interroge sur la diversification de son activité
Après la rencontre de son 2ème associé PDG des « Fromenteries de France », Mr Charier reçoit beaucoup d’idées de diversification pour son entreprise, qui pourraient l’aider à augmenter considérablement son CA. L’essentiel de ces idées provient des clients eux-mêmes et l’entreprise se lance alors dans le transport et le colisage, ainsi que les animations œnologique… D’autres idées proviennent de l’associé : l’importation de vins étrangers pour créer l’exclusivité sur le marché français, mise en place de plateformes internet (Winegate…). L’entreprise se tourne vers un service de gestion de cave virtuelle.
Les problèmes de