candide chapitre 19
Chapitre 19
Le nègre de Surinam
Voltaire philosophe des Lumières du XVIII éme siècle a beaucoup écrit pour souvent dénoncer le fanatisme religieux et l’absolutisme royal. Parmi ses nombreuses œuvres on compte Candide conte philosophique en prose écrit en
1759. Dans le chapitre 19 de Candide, le héros éponyme fait la rencontre d’un nègre prostré au bord de la route à la sortie de Surinam.
Par la suite, on peut constater que cet extrait suit une argumentation indirecte. En effet, le texte ne possède pas un plan comme dans une dissertation. Le contenue est explicite. Le registre de cet extrait est pathétique car le lecteur a pitié du triste sort de l’esclave rencontré par Candide. On peut constater aussi que cet extrait a un ton polémique car l’auteur dénonce l’atteinte au droit de l’homme et à la liberté.
Enfin, on peut remarqué que l’auteur dénonce aussi l’optimisme démesuré de
Candide et de Cacambo face a de nombreuse situation. D’abort nous étudierons l’art du récit dans cette page. Ensuite, nous analyserons la partie critique de ce texte.
Dans cet extrait de Candide, on peut observer une confrontation entre le point de vue externe et le point de vue omniscient (focalisation zéro). Le point de vue externe n’occupe que 6 lignes : de << En approchant de la ville […] et la main droite>> et << Et il versait des larmes […] dans Surinam. >> Ces extraits du chapitre
19 de Candide représente le début et la fin du chapitre. Mais on peut aussi apercevoir une intervention de l’auteur qui essaye de provoquer la compassion chez le lecteur pour l’esclave :<< ce pauvre homme >>. Dans ce chapitre, le négre est présenté négativement et pour que la vision de l’esclave soit plus marquante, pour qu’elle s’inscrive ensuite dans un plaidoyer efficace, il installe le nègre dans une posture de victime : << étendu par terre >>. Sa soumission fonde son immobilité :
<< j’attends mon maître >>.
Le narrateur accorde une belle part au discours direct. Elle représente 90% du