Camus La Chute L Hote
Dans La Chute, un homme, Jean-Baptiste Clément, raconte un peu de l’histoire de la vie. Il était avocat ; « Juge-pénitent, » il dit. Il commence avec tous qu’il a fait de bon, donner de l’aide aux aveugles qui voulaient traverser la rue et aux gens dont les voitures étaient tombées en panne, comme s’il veut se justifier pour ce qu’il a fait de mal- ce qui est révélé dans la deuxième moitié du livre. Pendant qu’il essaie de se pardonner, on voit bien le personnage bourgeoisie que Camus crée.
Le livre est un monologue de 153 pages, ou Clément parle toujours de soi-même. Il l’admet à page 55, qu’il vivait « donc sans autre continuité que celle, au jour le jour, du moi-moi-moi. » Donc, surtout dans le livre, il présente son cas (en fait, comme avocat), avec l’espérance d’être validé et pardonné, mais il ne donne pas à son « chère compatriote,» au lecteur, ou n’importe qui, de moment pour lui dire un mot jusqu’à la fin.
Au contraire, L’hôte était écrit très différemment, mais l’histoire se focalise du même sentiment de la culpabilité. Néanmoins, il n’y a pas de monologue des dizaines de pages, ni des références directe au lecteur. Le narrateur raconte une histoire d’un instituteur qui fait une décision de libérer un prisonnier arabe qui est sous son supervision. Le lecteur est laissé avec un dilemme : qu’est-ce qui est vraiment juste ici ? C’est que le prisonnier reçoit son punition ? Le système qui l’a emprisonné, même s’il a commis un vrai crime, n’est pas parfait. Donc, est-ce que c’est Daru qui a fait du mal, quand il l’a libéré ?