Britanicus
La Barbe Bleue possédait bien des richesses,Des maisons de Ville et même de Campagne,Mais malgré tout cela, il voulait en vitesse,
Une toute nouvelle et jeune compagne.Il demandait (temps, PS) la main aux filles de la voisine,
Toutes deux refusèrent effrayées par sa barbe couleur smaltine,
Notre homme n'hésita pas une seconde à se servir de ses biens abondants.
Cette exposition fit céder la cadette,
Qui derrière cet homme repoussant,
Recelait un avenir fortuné qui lui restait en tête, (p, .)
Le Mariage allait donc avoir lieu prochainement. ( ici, la rime est excédentaire, sur le 5° vers)
Un mois s'écoula après les noces, quand Barbe-Bleue annonça,
Qu'un voyage de six semaines allait être la cause de son absence,
L'accès à ses trésors, (p) il lui laissa,
Mais fit preuve d'une unique exigence.
Son ordre était le suivant, (p : ) de toutes les ( inutile) pièces elle pourrait profiter,
Mais d'une seule elle devrait se passer,
Le petit cabinet devait rester clos,
Si l'ordre était enfreint, sa colère ne serait pas de repos.
A la vue de cette liberté dont la jeune fille disposait, (petite entorse à la rime, car ici, on est sur un son "è" et après sur un son "é")
Elle invita les voisines et les amies à partager son bonheur,( p .)
Elles parcoururent les belles pièces et les divers cabinets,
Euphoriques et baignées dans un esprit de bonne humeur,
Mais malgré les rires dans lesquels la jeune Mariée baignait,
La curiosité due au cabinet interdit lui rongeait le cœur
Sa tentation atteint son apogée, (pas de vraie rime ?)
Elle accourut vers l'objet de l'interdit,
Elle l'ouvrit et l'on ne peut décrire sa frayeur,
A la vue de ses corps de femmes sans vie.
L'horreur qu'elle avait vu(G) était si forte,
En voyant ses anciennes épouses mortes
Qu'elle lâcha la clef qui fût (conj) taché(G) de sang,(pas de vraie rime )
La jeune fille pris(conj) peur du sort qui l’attendait.(pas de vraie rime )Le soir même, Barbe-Bleue