Bougainville
· Il sont surpris de l'accueil chaleureux
a) Un accueil animé et répété
Le texte insiste sur la gentillesse des habitants de l'île : redondance : reçus par une foule d'hommes et de femmes, " et le chef, les femmes nous saluèrent " : utilisation du passé simple (répétition, qui dure).
Quantité de personnes énumérée favorables à leur arrivée (tout ceux...) attitude général; gentillesse générale.
Gentillesse et beaucoup d'hospitalité : on leur donne à manger et même des femmes !!!
Thèmes qui généralisent (" tous les hommes, toutes les femme ")
Ils sont frappés par les règles de l'hospitalité : rîtes observés " taillo" (cris).
Joie de recevoir (accueil franc), hospitalité totale/absolue : on les introduit dans les maisons, on leur donne à manger et ils leurs offrent des jeunes filles : fête de tous les sens (musique, chants...) : rîtes
L'hospitalité a l'air d'être le maître mot (partout on voyait régner l'hospitalité, le repos…)
Thème de l'hospitalité utilisé en premier : étonnement : ils sont étonnés (les Européens) par la nature (beauté) et la simplicité des habitants.
b) Le naturel des habitants
La curiosité : ils sont très naturels : curiosité naïve : ne se lassaient pas de nous considérer, écarter leurs vêtements, les hardis qui viennent les toucher (au début); ils ne savent pas comment exprimer leur joie de les recevoir : ils ne cachent rien.
Un peuple qui n'a pas de manières, qui est curieux et qui le montre
Simplicité des mœurs : Ils ne s'embarrassent pas, montrent ouvertement leurs sentiments (démonstration très forte : femmes qui crient taillo); offrande des jeunes filles (plaisir des hommes); simplicité dans le décors (la fête, la terre, feuillage et fleurs) : simplicité, ils sont frappés par l'absence de méfiance (pas de port d'armes), ils vivent en paix (pacifistes) "aucun ne portait d'arme ni même de bâton ". Ils se promènent seuls et par petites bandes et sans armes. Ils vivent