Beyle
Stendhal a eu une enfance difficile, tout d'abord par le décès de sa mère, la communication difficile avec son père, seul avec son gp, la relation est digne de ce mot. Pour se libérer, il se plonge dans la littérature. En 1799, il quitte Grenoble pour rejoindre Paris pour ses études. Il abandonna ses études et rêve d'écrire des comédies. Il est poussé par sa famille de rentrer au ministère de la guerre, il est donc envoyé à milan en 1800. L'empire renversé, Stendhal perd son emploi et décide de se consacrer à ses passions, l'Italie, la musique et la peinture.
De tempérament timide et romanesque, souffrant de l'hypocrisie de la société de son temps, il invente pour lui-même une « méthode pratique du bonheur», le beylisme.
En 1819, sa relation amoureuse avec Matilde Demowski, lui ouvre l'esprit, il écrit De l'amour, il tente d'analyser le sentiment amoureux. En 1827, Stendhal se lance dans l'écriture pure de romans, il débute par Armance, celui ci est mal compris par la population, L'écriture du rouge et le noir dans le prolongement forme un des textes les plus connu de stendhal, paru juste apres la revol de juillet 1830, il acquiert une certaine notoriété. Les fonctions de Stendhal sont pénibles et donc ennuyeuses, il ne cesse d'écrire : il rédige des autobiographies et des romans inachevés comme par exemple Lucien Leuwen. Un congé sur Paris lui redonne de l'inspiration et écrit la chartreuse de parme, balzac l'admire.
En 1819, son chagrin d'amour pour Matilde Dembowski lui fait écrire un traité, De l'amour, tentative d’analyse du sentiment amoureux, paru en 1822, dont à peine quarante exemplaires seront vendus. C'est