nouvelle, avec le vocabulaire de la souffrance à la fin de la scène : « Ciel ! Je suis perdu. Mais, Madame, vous n’aviez aucune inclination pour lui. » (lignes 23-24). Araminte est autoritaire avec Dorante. L’emploi des verbes à l’impératif qui visent à donner des ordres à Dorante, en attestent. Ce temps place Dorante dans une position de soumission, il doit s’exécuter : « Achevez, vous dis-je… » (ligne 25). Face à l’autorité de sa maitresse, Dorante s’incline allant jusqu’à lui manifester des marques de respects répétés plusieurs fois dans la scène « Madame » (lignes 2,7,12,18..). Araminte n’est pas seulement autoritaire elle est aussi stratagème, en mettant Dorante à l’épreuve pour qu’il lui révèle ses sentiments, avec la première didascalie « Araminte met à l’épreuve son jeune intendant…Elle lui fait écrire une lettre à un rival». La souffrance de Dorante est une preuve de sincérité, mais sa dernière réplique montre son peu d’audace « Je ne me trouve pas bien Madame. » (ligne 28) q ...nouvelle, avec le vocabulaire de la souffrance à la fin de la scène : « Ciel ! Je suis perdu. Mais, Madame, vous n’aviez aucune inclination pour lui. » (lignes 23-24). Araminte est autoritaire avec Dorante. L’emploi des verbes à l’impératif qui visent à donner des ordres à Dorante, en attestent. Ce temps place Dorante dans une position de soumission, il doit s’exécuter : « Achevez, vous dis-je… » (ligne 25). Face à l’autorité de sa maitresse, Dorante s’incline allant jusqu’à lui manifester des marques de respects répétés plusieurs fois dans la scène « Madame » (lignes 2,7,12,18..). Araminte n’est pas seulement autoritaire elle est aussi stratagème, en mettant Dorante à l’épreuve pour qu’il lui révèle ses sentiments, avec la première didascalie « Araminte met à l’épreuve son jeune intendant…Elle lui fait écrire une lettre à un rival». La souffrance de Dorante est une preuve de sincérité, mais sa dernière réplique montre son peu d’audace « Je ne me trouve pas bien Madame. » (ligne