Le pop art (suite) Le pop art américain Il connaît plus succès que le pop art anglais. Le pop art américain s’inspire de l’art prévisionniste ( ex : Self Portrait de Charles Sheeler, 1923 :il voit un combiné de téléphone sur une table devant une fenêtre. Le téléphone est mis en avant comme un objet fétiche : c’est une œuvre sobre et froide. Cette sobriété et cette froideur se retrouve dans le pop art américain) et du publiciste, Stuart Davis . Ils vont également s’inspirer d’objet du quotidien. Ils sont également influencés par la publicité et du sens du spectacle : ils n’hésitent pas à en rajouter. Il y a deux précurseurs du pop art américain : Japer Johns qui est très connu pour sa série de Flag et il s’intéresse beaucoup sur la représentation des choses. Rauschenberg qui a fait partie pour un temps du courant expressionniste abstrait, puis à la fin des années 1950, il s’installe à New York et commence les combine painting. C’est un mélange d’objets qu’il a ramassé avec un support plan (collage, peinture…). Entre sculpture et peinture, il crée l’œuvre : Bed (1955) : il a pris des draps, des couvertures et un édredon et les a assemblés comme si c’était un lit auquel il ajoute de la peinture. Pour choquer il met le lit à la verticale. La thématique pop art (anglais et américain) L’univers des stars et des médias Marilyn et un diptique – Warhol (1962) Technique de la sérigraphie : deux panneaux mis côte à côte ; Warhol suite à la mort de Marilyn Monroe, il fait une série d’œuvre avec son visage. La juxtaposition du tableau en noir et blanc rappelle les distinctions entre dessin et peinture. La vie quotidienne et la société de consommation Clothespin (Oldenburg, 1976 13,72 m à Markest Street) C’est une pince à linge : il eut qu’on voit l’objet autrement. L’érotisme (Oldenburg) Chair (Jones) Ce qui intéresse Jones c’est le corps de la femme et ses attributs