Apollinaire : Crépuscule

790 mots 4 pages
Poème assez plutôt classique. Souple, fluide. Prosodie classique. Ruptures (ex : rimes qui frottent + singulier/pluriel). Esthétique entre deux. Entre tradi et innov. D’où titre ? plutôt sombre quand même assez paradoxal avec amour.
Première strophe : rimes croisées
Deuxième strophe : rimes plates
Troisème strophe : rimes croisées
Quatrième strophe : rimes embrassées
Cinquième strophe : rimes plates
Symétrie axiale. 1-4, 2-5. Cinq quatrains d’octosyllabes, rime en apparence classiques, alternance masculine/féminine. Mais orga interne des rimes originale. titre : pas d’article, Crépuscule c’est précis en soit, mot jouli mais ici contexte vague

Sujet retardé le plus possible.
Frôlé imperceptible, indéfini, on sait pas qui l’effectue. Les boules. Lien avec les ombres + des morts. Grosses boules. Dimension inquiétante. Pluralité/singulier de frôler. Renforce la menace. Dimension sensuelle du toucher ? pas là. Paradoxe. Perception par les sens, pas la vue. Ombres renforce dimension nocturne. Paraître. Incertain.

Herbe : défini. Lieu familier pour poète. Intéressant. Personnification du jour : lien entre lumière du soleil. Mais aussi dernier souffle. S’exténue en bout de vers. Prononciation, etc, dernier souffle. Allitérations en [l] et [r]. Sons étouffés et contraste avec le [x] dur et sifflant. Toujours sensuel => couché sur l’herbe, perception par les sens toujours.

Surprise. Arlequine = existe pas. Sonorités contrastes avec les vers. Personnage de la comedia dell’arte, patchwork de couleurs, gaieté et luminosité qui contraste. Elle est définie comme l’herbe. Le poète en sait plus, même qu’il connaît des trucs qu’on ne connaît pas. Le jour s’exténue, l’arlequine s’est mise nue. Résignation. C’est fini aussi. On assiste de loin, le spectacle s’impose, en fait. Comment on le sait qu’elle est arlequine. Importance du perso car en début de vers plus long et contraste aussi au sein du vers. Abandon de l’artifice, les masques tombent, fusion avec nature

en relation

  • texte 20david 20hume
    401 mots | 2 pages
  • Ecriture d'invention: le hareng saur
    562 mots | 3 pages
  • Commentaire de texte jacques roubaud "dans l'espace minime"
    945 mots | 4 pages
  • Commentaire, le lombric de roubaud
    768 mots | 4 pages
  • nana
    386 mots | 2 pages
  • Spleen De Paris
    1062 mots | 5 pages
  • Faut - il avoir du nez ? [ philosophie ]
    4026 mots | 17 pages
  • Analyse bénédiction
    1078 mots | 5 pages
  • Analyse de pratique ide
    441 mots | 2 pages
  • Hda fiche aide
    567 mots | 3 pages
  • Commentaire de propos sur l'éducation d'alain.
    7766 mots | 32 pages
  • Hegel
    1218 mots | 5 pages
  • Virginia woolf, biographie
    32106 mots | 129 pages
  • Louis aragon
    292 mots | 2 pages
  • Louis aragon
    392 mots | 2 pages