Apollinaire : Crépuscule
Première strophe : rimes croisées
Deuxième strophe : rimes plates
Troisème strophe : rimes croisées
Quatrième strophe : rimes embrassées
Cinquième strophe : rimes plates
Symétrie axiale. 1-4, 2-5. Cinq quatrains d’octosyllabes, rime en apparence classiques, alternance masculine/féminine. Mais orga interne des rimes originale. titre : pas d’article, Crépuscule c’est précis en soit, mot jouli mais ici contexte vague
Sujet retardé le plus possible.
Frôlé imperceptible, indéfini, on sait pas qui l’effectue. Les boules. Lien avec les ombres + des morts. Grosses boules. Dimension inquiétante. Pluralité/singulier de frôler. Renforce la menace. Dimension sensuelle du toucher ? pas là. Paradoxe. Perception par les sens, pas la vue. Ombres renforce dimension nocturne. Paraître. Incertain.
Herbe : défini. Lieu familier pour poète. Intéressant. Personnification du jour : lien entre lumière du soleil. Mais aussi dernier souffle. S’exténue en bout de vers. Prononciation, etc, dernier souffle. Allitérations en [l] et [r]. Sons étouffés et contraste avec le [x] dur et sifflant. Toujours sensuel => couché sur l’herbe, perception par les sens toujours.
Surprise. Arlequine = existe pas. Sonorités contrastes avec les vers. Personnage de la comedia dell’arte, patchwork de couleurs, gaieté et luminosité qui contraste. Elle est définie comme l’herbe. Le poète en sait plus, même qu’il connaît des trucs qu’on ne connaît pas. Le jour s’exténue, l’arlequine s’est mise nue. Résignation. C’est fini aussi. On assiste de loin, le spectacle s’impose, en fait. Comment on le sait qu’elle est arlequine. Importance du perso car en début de vers plus long et contraste aussi au sein du vers. Abandon de l’artifice, les masques tombent, fusion avec nature