Annexe - Transcription - Conférence PKP
Le 7 avril dernier, j'ai eu le privilège d'être élu député de Saint-Jérôme par les citoyens de cette circonscription que j'affectionne énormément. La population de Saint-Jérôme a décidé de me faire confiance pour les représenter à l'Assemblée nationale du Québec, institution si chère à notre système démocratique. Depuis mon arrivée à cette honorable Chambre et mon statut de représentant de la population de mon comté, j'effectue mon travail le plus efficacement possible, alors que, vous le savez, j'ai passé plus de 28 ans pour une entreprise dont la grande majorité des Québécois sont fiers. J'avoue qu'il s'agit d'un nouvel environnement pour moi ainsi que d'une nouvelle vie. Dois-je également vous rappeler que le choix des électeurs de Saint-Jérôme a été fait en toute connaissance de cause de mes antécédents professionnels et ma situation personnelle?
Aujourd'hui, une motion parlementaire présentée par François Legault me vise personnellement et tente de m'empêcher à envisager l'hypothèse d'occuper davantage de responsabilités auprès de la population du Québec. En vertu de la loi, que je respecte scrupuleusement, je n'ai pas à choisir entre le choix que j'ai fait de représenter les citoyens de mon comté à l'Assemblée nationale du Québec et la détention du patrimoine qui m'a été légué par mon père, Pierre Péladeau, pour lequel, comme un grand nombre d'autres citoyens québécois, j'ai un immense respect et une très grande estime.
Il a été l'illustration parfaite de cette volonté que les Québécois peuvent réussir également dans le monde des affaires et que nous pouvons nous affirmer dans la sphère économique. Il fut pour moi une source d'inspiration phénoménale que je souhaite également léguer à mes enfants pour qu'ils poursuivent un jour, s'ils le souhaitent, l'émancipation économique des Québécois.
La partisannerie outrancière et déplorable de cette