Animaux malade de la peste
C'est dans un genre qui est la fable qu'excelle Jean de Lafontaine. Il se sert d'animaux pour faire réfléchir ses contemporains sur la morale qui a cours dans leur société. Il est dans une époque Classique , puis c'est dans son septième livre publié en 1694 qu'on peut retrouver la fable sur laquelle on va parler dans ce texte : Les animaux malade de la peste. Dans notre société, le jugement que l'on porte sur les actes d'un accusé est influencé par par sa situation sociale et c'est ce que nous dénonçons. Après avoir rédigé un bref résumé du texte en question, nous analyserons le tout.
Résumé déjà fait!
La situation sociale fait-elle la différence lorsqu'on accuse quelqu'un. Dans la fable ci-contre, on se rends bien compte que oui. Premièrement, les animaux les plus puissants sont vite disculper de leur crime. Dans le vers 37-38 lorsque le lion qui est en fait le chef de la meute, avoue ses crimes bien le renard lui convint les autres animaux lui pardonner, que selon lui ce n'est pas grave qu'il est fait cela. C'est dans le la phrase suivante qu'on voit en mots ce que nous venons d'expliquer. […]Vous leur fîtes seigneur/[e]n les croquant beaucoup d'honneur.
Dans notre deuxième preuve on va pouvoir se rendre compte qu'il en va de même pour les autres puissance du pays des animaux. On n'osa trop approfondir/ [d]u Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances/[l]es moins pardonnables offenses.(v 44-45)
Par la suite analysons davantage la partie de la fable où l'âne est sacrifié. Si nous vous mettons cette extrait : Je tondis de ce pré la largeur de ma langue(v 53.) Quand dite-vous? Nous on c'est rendu compte que l'âne était très naïf d'avoir cru et de s'avoir laissé condamnée pour un crime qu'On ne peut même pas appelé crime, on peut dire que c'est un animaux sans défense. Donc on voit bien que la situation sociale influe vraiment sur une sentence donné a un accusé.
En conclusion, la fable <Les animaux malades de la peste>, de Jean