Contre Fable
Cette terrible maladie avaient frappé
Nombre d’animaux, même les puissants.
Africaine d’origine, Ebola s’était,
Répandu dans tout l’Occident.
Cela rendait le corps brulant,
Donnait courbatures et vomissements.
Il fallut faire un choix difficile
Pour leur retirer un poids très gênant.
Réunis dans cette foret terrifiante,
Ours, jaguars et loups,
Devaient avouer leurs crimes.
L’injustice se sentaient ta plein nez,
Quelqu’un devait se dévouer,
Le lion prit donc la parole :
« Nous sommes tous touchés par cette maladie »
Avec leurs oreilles tel des paraboles,
Les animaux écoutaient le discours du Lion :
« Pour le peuple, j’avouerai donc mes crimes ici !
J’ai mangé des centaines de moutons,
Attaquer des voyager sans raisons,
Et terroriser des animaux sans défense »
Après le discours du Lion, le Renard prit part :
« Monsieur le président, Grand Lion,
Sincèrement, vous êtes trop bon dirigeant,
Votre haleine donne beaucoup trop d’honneur
A ces animaux sans importance
Puis les voyageurs n’avaient rien à faire chez vous.
Bref, J’ai avoué mes crimes, à vous vous d’en faire autant »
Conclut le Lion avec grande autorité
Plus tard, les animaux avouèrent rapidement,
Jusqu'à ce que l’Âne d’un air mignon,
Dit tout haut, son plus grand délit, étant
Sûr de ne pas être jugé :
« Un jour, durant mon enfance, j’avais très faim.
D’après mes grand souvenirs, une plaine d’herbe,
Apparut donc devant mes yeux,
Mon ventre étant petit et très creux,
Je n’ai pas pu résister à la tentation…
Mon Dieu quelle erreur fatale ! »
S’exprima le Renard furieux.
« Mais aviez-vous le droit d’user cette herbe ?
Il est de forte évidence que non !
Nous avons donc enfin trouver le coupable ! »
Réunis dans cette foret terrifiante,
L’Âne s’était fait exécuter froidement,
Sans autre forme de procès.