Analyse philosophique d'une image de guerre
Analyse philosophique d’une image
L'image ci-dessous montre une scène de bataille de la Première Guerre mondiale. On voit des soldats, très probablement du côté des alliés, sortir de leurs tranchées avec l'intention d'attaquer leurs adversaires. Leur regard est lugubre, ce qui peut indiquer que leur situation est terrible. Nous pouvons constater que l’artiste a accordé de l’importance au ciel, celui-ci n’a pas de nuages et occupe deux tiers du tableau. Ce ciel est noirci …afficher plus de contenu…
Dans de nombreux cas, ces barrières métalliques sont des barrières infranchissables, mais dans ce cas, les soldats font preuve de bravoure en les franchissant. On peut distinguer un soldat, peut-être un officier ou un capitaine, au centre du tableau, qui encourage les autres hommes à engager la position ennemie. Cette illustration donne une impression générale de désordre et de chaos. Les soldats attaquent des positions ennemies lourdement fortifiées, où il y a une forte probabilité qu'ils périssent. On pourrait donc dire que leur situation est absurde. Par la suite, nous déduisons que ce tableau démontre le ridicule de mener la guerre. Dans notre histoire nous avons eu beaucoup de guerres causées par des raisons …afficher plus de contenu…
Premièrement, on peut sortir l’argument que l’homme (dans notre cas les Chefs d’États) ne sont majoritairement pas rationnel. Ils ont des biais différents et des manières de réflexion différentes. Ces distinctions peuvent mener les dirigeants des nations à négliger le prix de la guerre et de méconnaître les conséquences de leurs actions.
Deuxièmement, les politiciens qui formulent les ordres ne subissent pas les conséquences directes, mais au contraire ce sont les soldats sacrifiés, et les citoyens de ce pays. On peut le voir de nos jours dans le conflit Russo-Ukrainien. Dernièrement, si l’on suppose qu’un chef d’État est capable de raisonnement, et que celui-ci a réfléchit à tous les impacts, et qu’il vient à la conclusion que les bienfaits sont meilleurs que les méfaits. Donc la guerre sera