analyse une forme de vie, Amélie Nothomb
Fabienne Nothomb est une écrivaine belge, elle commence sa carrière d’écrivain en 1992 sous le nom de plume d’Amélie Nothomb. Elle publie de façons très régulière un livre chaque année. « Une forme de vie » est le 19ème romain d’Amélie Nothomb en 2010, il a été choisi par l’Académie Goncourt pour faire partie de la première sélection de Goncourt 2010.
En quoi les personnes se complètent-ils et se déconstruisent-ils au fil du roman ? Peut-on appeler ce roman «une forme de vie» ?
Tout d’abord dans ce romain, il y a 3 personnages principaux, l’auteur Amélie Nothomb est elle même l’héroïne de son romain, ensuite il y a Melvin Mapple qui est un soldat américain basé en Irak et Howard Mapple qui est le frère de Melvin. Melvin Mapple envoie une lettre à Amélie Nothomb comme de nombreux lecteur qu’ils veulent échanger avec l’écrivaine. Ce fut une lettre très court mais où Melvin Mapple explique à Amélie Nothomb sa situation de soldat américain basé en Irak mais aussi où il lui dit qu’il à besoin d’une certaine aide. À première vu Amélie Nothomb nous explique qu’elle cru que c’était un canular mais décide quand même de lui répondre et c’est la que tout commença.
« Une forme de vie » relate une relation fictive avec Amélie Nothomb et Melvin Mapple, un soldat américain posté à Bagdad en Irak. Cette relation épistolaire mène à une certaine amitié entre l’écrivaine et le soldat devenu obèse, en tout cas une relation particulière qui ramène l’auteur à ses propres conceptions de la communication écrite et des échanges avec les lecteurs, en effet Amélie Nothomb fait plusieurs fois référence à son courrier de lecteur. Tous les écrivains ne répondent pas à leurs lecteurs mais Amélie Nothomb oui, elle en place un dispositif elle réceptionne les lettres et les tris, elle préfère les lettres les plus courtes et s’inquiète même qu’un échange épistolaire puisse se terminer, elle se réserve les lettres qu’elle