Acide sulfurique d'amélie nothomb
Français 100
601-P4T-SP, groupe 152Étude de texte sur Acide sulfuriqueTravail présenté à
Mme Claudine BernierTechniques administratives
Cégep de Saint-Jérôme
8 décembre 20212Pendant la Deuxième Guerre mondiale, Adolf Hitler et les nazis avaient énormément de pouvoir et cela était bien mis en évidence avec les camps de concentration mis en place par ces derniers. À cet égard, dans son roman Acide sulfurique (2005), Amélie Nothomb montre que le pouvoir est présent sous plusieurs formes …afficher plus de contenu…
Dès le début de l’histoire, la kapo Zdena n’avait qu’une chose en tête et c’était CKZ-114. Cet attachement était apparent par l’atrocité qu’elle faisait vivre Pannonique, mais les organisateurs ne l’arrêtent pas, sauf sous certaines restrictions ; « Sans pour autant transgresser les ordres, qui étaient de ne pas abîmer sa beauté » (P. 33). Ainsi, il est évident que les organisateurs ne pensent qu’aux résultats de leur émission et non au bien être des participants. Les organisateurs sont au haut de cette hiérarchie, ils ont donc définitivement le pouvoir d’arrêter cette maltraitance que vit la jeune Pannonique, mais ils ne le font pas dans le but de faire du profit. Ensuite, les kapos ont aussi du pouvoir parce qu’ils ont le …afficher plus de contenu…
En effet, Pannonique a prouvé à quelques reprises qu’elle avait un certain pouvoir sur les gens à l’entour d’elle. Vers le début de la deuxième partie, le prisonnier EPJ-327 conta l’histoire de Romain Gary, un prisonnier d’un camp allemand qui décida d’utiliser le concept d’une femme fictive et divine pour l’aider à améliorer sa morale et sortir de son enfer. EPJ-327 fait donc la relation entre cette histoire et la prisonnière CKZ-114, qui avait sauvé une autre prisonnière. « Elle existe, elle vit avec nous, nous pouvons la regarder, lui parler, elle nous répond, elle nous sauve et elle s’appelle Pannonique » (P. 75). Ainsi, Pannonique semble être plus qu’une simple prisonnière pour tout le monde, elle semble être une femme qui représente l’espoir dans un camp qui est rempli d’atrocité. Cette image que les autres prisonniers ont d’elles