Analyse de la "chute d'icare"
Ce tableau date de 1558 et est une représentation d’un thème mythologique. C’est un peu comme la La Cène (De Vinci) ou le tableau représente un moment précis, une fraction de seconde mise en peinture. A l’avant-plan nous pouvons remarquer un paysan (ça se voit car il est vêtu d’un simple habit) qui laboure son champs ce paysan et ce cheval sont en train de marcher comme l’indiquent les jambes du paysan et surtout la patte arrière gauche du cheval qui est levée et qui va se rabaisser. Les yeux sont aussi attiré vers lui grâce à sont habits rouge qui attire le regard Vers la gauche on remarque des arbres assez feuillu ce qui montre que c’est une saison d’été (les couleurs le confirment aussi mais j’en parlerai plus loin), c’est ces arbres qui attirent le regard en premier car ils forment une épaisse ligne verticale. Au plan médian on remarque un berger (tournant le dos au drame) appuyé sur son baton qui semble pensif, autour de lui des moutons dispersés
Conclusion : ce qui est dramatique c’est que ce tableau à l’aspect si paisible grâce aux couleurs chaudes et aux personnages à l’aspect sereins n’est en fait qu’un drame car personne ne vois Icare se noyer dans la mer méditerranée car tout le monde à ses occupations. Bruegel aimait montrer les aspects réels de la vie, c’est d’ailleurs pour ça qu’on dit qu’il faisait partie du courant de L’humanisme. Morale : « ne pas se rebeller contre les lois de l'univers mais accomplir la tâche qui nous a été attribuée » (morale : http://www.pieter-bruegel.com/salles/icare.htm )
Le coucher (ou lever) du soleil, qui marquera la fin (ou le début) d'une dur journée de labeur, renforce le caractère paisible de la scène (on peut d'ailleurs trouver étrange qu'un soleil si bas est fait fondre la cire des ailes du malheureux Icare). La ville cernée par les montagnes, vers laquelle se dirigent sans doute les navires, paraît bien loin.
Le paysage qui sert de cadre à la scène frappe par sa sérénité,