Analyse candide
Voltaire : «la suprême puissance», «l’éternel artisan», «mon maître», «mon Dieu». Ces mots employés par l’auteur sont des termes de soumission et qui montrent que le désespoir des gens les mène à leur dernière chance, celle de croire en Dieu. Les gens de
Lisbonne, en 1755, croyaient donc qu’il fallait toujours être fidèle à Dieu même si celui- ci avait créé des malheurs. Ensuite, Voltaire tente de nous montrer la «triste» situation des gens et comment ils en sont au désespoir. Il dit : «Les tristes habitants de ces bords désolés». Ici, les mots «tristes» et «désolés» sont des termes dépréciatifs. Il essaie de faire grandir en nous un sentiment de pitié pour la situation de ces gens. Plus tard, il marque aussi le désespoir de la ville de Lisbonne en expliquant ce qui adviendrait d’elle-même et de sa population en énonçant la situation contraire avec le Nord. Effectivement, Voltaire explique que les «pertes fatales» de la ville de Lisbonne vont permettre au «Nord» de
«s’enrichir». Cette opposition fait ressortir le désespoir de la situation. Bref, la situation des gens dans le poème de Voltaire est au désespoir : les gens se soumettent à Dieu, ils sont tristes dans une ville «désolée», détruite et les pertes de Lisbonne vont permettre au
Nord de