L’allégorie de la caverne met en scène des hommes enchaînés dans une caverne, qui ne peuvent bouger aucun membre de leur corps, leur permettant ainsi de seulement voir ce qui se passe devant eu et l’ombre de divers objets des marchands produit par un feu allumé derrière eux. Le narrateur pose ainsi plusieurs questions en lien avec la «vraie» vie qu’aurait un prisonnier, s’il pourrait être libérer. Le prisonnier sélectionné se sentirait donc «attaqué» par toutes ces nouvelles «choses» qui composent maintenant son environnement. Il fait d’abord connaissance du soleil et ensuite des saisons, et comprend donc que le soleil est le point commun à tout ça. Il se rend compte qu’il n’envie plus du tout son ancienne vie. Il ne pourrait y retourner, car il y serait aveuglé par les ténèbres.
Ce texte comporte plusieurs petits messages codés. Le plus important des messages est le partage de la connaissance. Cela est représenté par le fait d’imaginer les hommes liés à des chaines, tout en étant tournés vers le mur. Ils ne voient que du «faux». En permettant à un prisonnier de sortir de la caverne, le partage du savoir s’exécute alors. Il découvre donc ce qu’est le vrai monde. Par contre, en gardant l’homme éloigné de la caverne, c’est-à-dire ne jamais le renvoyé auprès de ses confrères, le partage de la connaissance de se fera pas. Qui alors informera ses confrères de la réalité ? Ces hommes demeureront alors toujours au même stade, n’évolueront jamais. Platon démontre donc l’importance de la transmission des idées et des