La chute
Avec la morphine mes sens étaient perturbés, mais je parvenais à distinguer chaque élément de mon milieu de vie: La chambre paraissait de petite taille, une large vitre laissait passer le jour à travers de fins rideau mauves, il faisait chaud, et la climatisation devait tourner au maximum. Puis vint les sensations les plus désagréables, il y avait déjà cette odeur d'éther, de désinfectant, ces odeurs me piquaient le nez et me donnait des nausée à chaque fois que la porte de ma chambre s'ouvrait. En plus cette puanteur, il y avait également des sons, des cri, des gémissements ainsi que de la musique – je ne sais toujours pas si cette petite mélodie, toujours la même d'ailleur, était une hallucination ou réelle-. Un frisson me traversait le corps à chacun de ces cri de douleur ou de fin de vie.
Je ne me sentais pas bien, la bas, enfermer dans cette chambre telle une cellule de prison, ou j'avais l'impression que l'on t me torturait. Et , comme dans un prison je pouvais apercevoir ce qui été dehors mais je ne pouvais sortir. J'était tel un condamné,même pire, comme un lion en cage. Je n'avais aucun contact avec les infirmiers, sauf les premiers jours ou j'échagerais quelques mots avec eux. Je passait mon temps à observer mon milieu de vie – très restreins- mais bon j'était dans un coquille de platre et de bandage.
Moi, qui ne pouvais comparer à d'autres endroit je trouvait cette endroit confortable malgrés les inconvéniens. Et j'avais tout le nécessaire, on me donner ce que je demander, mais je ne trouvais pas mon compte. Je ne me sentais