émotions Et Pensées Dans Germinal

à Christine avoir à faire une « course » (page 338). Elle le suit alors qu’il descend vers la Seine, le voit en contemplation devant l’île de la Cité, « ce cœur de Paris dont il emportait l’obsession partout » (page 339), le sent traversé par « la pensée terrible » de « la douceur de mourir » (page 340) à laquelle il ne cède pas. XII Cette nuit-là, dans leur lit où il imposait « volontaire abstinence, chasteté théorique, où il devait aboutir pour donner à la peinture toute sa virilité », Christine

courte (nocturne, étude). Hegel et les philosophes classiques ressentaient un besoin d’ordre et d’exhaustivité, et écrivaient de longs, laborieux et ennuyeux ouvrages ; Nietzsche adopte la forme de l’aphorisme qui lui permet d’écrire directement sa pensée dans toute sa pureté et sa singularité. Dostoïevski et les écrivains classiques ressentaient la nécessité de donner de longues descriptions ; cela ennuie André Breton et il y met fin, s’en tenant à l’essentiel. (Kundera, Les Testaments trahis, chap

courte (nocturne, étude). Hegel et les philosophes classiques ressentaient un besoin d’ordre et d’exhaustivité, et écrivaient de longs, laborieux et ennuyeux ouvrages ; Nietzsche adopte la forme de l’aphorisme qui lui permet d’écrire directement sa pensée dans toute sa pureté et sa singularité. Dostoïevski et les écrivains classiques ressentaient la nécessité de donner de longues descriptions ; cela ennuie André Breton et il y met fin, s’en tenant à l’essentiel. (Kundera, Les Testaments trahis, chap

(Clélie). Il met en scène, dans un territoire imaginaire, des personnages en habits de bergers ou de nymphes dont toute la vie est tendue vers l’amour et l’harmonie. Leurs parcours amoureux donnent des récits très longs, fondés sur le détail des émotions et des progrès faits par les protagonistes sur la «  Carte du Tendre  ». Cependant, ce type de romans, malgré son succès, se trouve discrédité. En effet, les personnages semblent d’une perfection peu crédible et l’atmosphère est ressentie comme

en est-il un autre ? Si Monte-Cristo est un roman, L’Assommoir en est-il un ? Peut-on établir une comparaison entre Les Affinités électives de Goethe, Les Trois Mousquetaires de Dumas, Madame Bovary de Flaubert, M. de Camors de M. Feuillet et Germinal de E. Zola ? Laquelle de ces œuvres est un roman ? Quelles sont ces fameuses règles ? D’où viennent-elles ? Qui les a établies ? En vertu de quel principe, de quelle autorité et de quels raisonnements ? Il semble cependant que ces critiques savent

Noir en est-il un autre ? Si Monte-Cristo est un roman, L’Assommoir en est-il un ? Peut-on établir une comparaison entre Les Affinités électives de Gœthe, Les Trois Mousquetaires de Dumas, Madame Bovary de Flaubert, M. de Camors de M. Feuillet et Germinal de M. Zola ? Laquelle de ces œuvres est un roman ? Quelles sont ces fameuses règles ? D’où viennent-elles ? Qui les a établies ? En vertu de quel principe, de quelle autorité et de quels raisonnements ? Il semble cependant que ces critiques savent

déclaration commune (manifeste de Brunswick) d’envahir la France pour rétablir louis XVI dans toute son autorité. En réalité cette menace est virtuelle puisque le roi d’Angleterre est hostile a une intervention. Mais en France une conjonction d’arrière pensées va pousser la quasi-totalité des forces politique a souhaiter la guerre. Ainsi le roi lui-même souhaite la guerre en espérant que la désorganisation de l’armée lui permettre de restaurer l’absolutisme. La gauche espère que la guerre va démasquer

montrer qu'il n'y a rien de plus divin que sa morale, rien de plus aimable, de plus pompeux que ses dogmes, sa doctrine et son culte ; on devait dire qu'elle favorise le génie, épure le goût, développe les passions vertueuses, donne de la vigueur à la pensée, offre des formes nobles à l'écrivain et des moules parfaits à l'artiste ; qu'il n'y a point de honte à croire avec Newton et Bossuet, Pascal et Racine ...» (I, 1, 1). Première partie Elle est consacrée aux dogmes et doctrines. Chateaubriand, voulant

pour, « ou ») qui visent à réveiller chez l’amant un sentiment éteint) 2. Une obsession : la présence lancinante de l’être aimé (les marques d’énonciation, « tes », « toi » ; variations à observer) ; sensibilité de Louise Labé (réactions, émotions, actes). 3. Un jeu poétique également : inversion des situations (deuxième quatrain), éloge musicalisé de l’être aimé (« mignard luth »), jeu, ici, avec les représentations de l’amour courtois (Moyen âge) où l’homme chante les beautés de

est sur le point de se dérouler. Cette crise inaugurale permet de donner envie au lecteur de poursuivre la lecture pour en savoir plus. 2. Le suspense est maintenu tout au long de l’extrait grâce à la dilatation du temps (chaque geste et chaque pensée du personnage sont précisément racontés) et à l’annonce dès le début du texte de ce qui va se passer. À la fin du texte, il ne s’est toujours rien passé (« mais non, il ne se passait rien : c’était toujours à lui d’agir »), ce qui augmente la tension