élégie Des Eaux

faire copier dans son parc les vues qu’il avait en portefeuille. Les plus ravissantes oppositions de feuillages, les arbres les plus rares, les longues vallées, les points de vue les plus pittoresques du dehors, les îles Borromées flottant sur des eaux claires et capricieuses, sont autant de rayons qui viennent apporter leurs trésors d’optique à un centre unique, à une isola bella d’où l’œil enchanté aperçoit chaque détail à son gré, à une île au sein de laquelle est une petite maison cachée sous

contemplant la lune TEXTE 2 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de décembre » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 L. Labé, Sonnets, « Prédit me fut… » TEXTE 3 G. de Nerval, Odelettes, « Les Cydalises » et « Une allée du Luxembourg » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Tibulle, Élégies TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS S. Gainsbourg, La Nuit d’Octobre 101 102 102 103 104 105 106 107 107 108 108 108 109 109 109 111 A. Cabanel, Phèdre Poésie et musique à l’époque romantique M. Desbordes-Valmore, « Je

renvoie à la doctrine officielle de l'allégorie, exprimée par saint Augustin dans le De doctrina Christiana. Augustin distinguait les mots, qui signifient, et les choses, qui éventuellement signifient elles aussi, comme le bois que Moïse jeta dans les eaux, qui « d'amères qu'elles étaient devinrent douces », bois qui, figure même de l'allégorie, signifie la Croix (Exode, 15, 25). Les signes sont ou littéraux ou figuratifs ; le sens littéral est supposé lié à la signification des mots, tandis que le sens

Cf. un projet de Préface (IV), où Baudelaire qualifie son oeuvre de "produit discordant de la Muse des Derniers jours". 159. Dans un passage du Salon de 1846 (Pl. II, p. 418), Baudelaire proposait de rendre compte d'un tableau par un sonnet ou une élégie. Dans le même Salon (p. 440-441), on lit déjà des remarques sur Rubens, Michel-Ange, Rembrandt. A. et P. proposent des identifications des oeuvres auxquelles Baudelaire semble plus précisément faire allusion: tableaux de Vinci, fresques de Michel-Ange

différentes teintes de la lumière ou par la pureté plus ou moins vive de leurs arêtes chargées toutes de sapins noirs. Le moulin, construit récemment à la chute du torrent dans le petit lac, a le charme d’une maison isolée qui se cache au milieu des eaux, entre les têtes de plusieurs arbres aquatiques. De l’autre côté de la rivière, au bas d’une montagne alors faiblement éclairée à son sommet par les rayons rouges du soleil couchant, Genestas entrevit une douzaine de chaumières abandonnées, sans fenêtres

texte Ronsard est né en 1524 dans une famille de noblesse ancienne. Il passe sa jeunesse dans le Vendômois, au milieu de la nature, comme en témoigne l’hymne à l’Automne  : «  Je n’avais pas quinze ans que les monts et les bois, / Et les eaux me plaisaient plus que la cour des Rois ». Pourtant il a fréquenté tôt la cour de François 1er puisqu’il devient, à la demande de son père, page de Charles d’Orléans, fils du roi. Il va ensuite en Angleterre, au service de la princesse Madeleine

les . . . allitérations . . . . . . . . . . . . . . . .en . . .« . .p . . ». .......................................................................................... 63 Tester ses connaissances sur la poésie ÉVALUATION Théophile de Viau, « Élégie à une dame », v.130-146, 1630 (posthume) 1 5 10 15 20 - Mais cet autre poète est bien plein de ferveur ; Il est blême, transi, solitaire, rêveur, La barbe mal peignée, un œil branlant et cave1, Un front tout renfrogné, tout le visage hâve2, Ahane3

Hérodote, sexualité. [ 48 ANDRÉ (J.M.), « Les élégiaques romains et le statut de la femme », in L'élégie romaine. Enracinement. Thèmes. Diffusion. Actes du Colloque international de Mulhouse (mars 1979), Ophrys, Paris, 1980, p. 51- 61. 07R élégie romaine. [ 49 ANDREEV (Mihail), « Divorce et adultère dans le droit romain classique », Revue Historique de Droit Français et Etranger 35, 1957, p. 1 sv. 01 R adultère, divorce. [ 50 ANDREEV (Mihail), «La lex Iulia de adulteriis coercendis »

de la loge. Les quatre façades, avec leurs six étages, nues, trouées des fenêtres noires, sans persiennes ; les tuyaux de descente avec les plombs. En bas, des ateliers tout autour ; des menuisiers, un serrurier, un atelier de teinturerie, avec les eaux de couleur qui coulent. Quatre escaliers, un pour chaque corps de bâtiment A. B. C. D. Au dedans, de longs / couloirs à chaque étage, avec des portes uniformes peintes en jaune. Sur le devant, dans les logements à persiennes, logent des gens qui passent

girouette, une quenouille chargée de lin. Les deux côtés du grand triangle que formait le mur du pignon étaient découpés carrément par des espèces de marches jusqu'au couronnement du premier étage, où, à droite et à gauche de la maison, tombaient les eaux pluviales rejetées par la gueule d'un animal fantastique. Au bas de la maison, une assise en grés y simulait une marche. Enfin, dernier vestige des anciennes coutumes, de chaque côté de la porte, entre les deux fenêtres, se trouvait dans la rue une