éloge Paradoxale Tabac

et de la vie moderne y sont prédominants prédominants. (accroche) Un hémisphère dans une chevelure est d’ailleurs la reprise d’un poème plus ancien des Fleurs du mal, « Une Chevelure ». Le poème en prose garde les mêmes thèmes (voyage, rêverie, éloge de la femme), la même construction (sept strophes pour sept paragraphes), mais se différencie de l’original par son écriture adaptée à la prose. Il n’est plus question ici d’écrire une ode, mais un texte lancinant et musical. (présentation du texte)

d’exposition. En entamant son éloge paradoxal du tabac, Sganarelle tente d’imiter son maître pour se donner de l’importance. La vente du tabac ayant été interdire sous Louis XIII, son prix devenu élevé avait rendu le tabac un luxe de seigneur ; or le valet tient une tabatière, appartenant peut-être à Dom Juan. Sganarelle défonce avec des termes forts le libertinage, la méchanceté et l’athéisme de son maître, mais il essaye parfois d’imiter son maître : il associe l’usage du tabac à un art de vivre, tout

Festin de Pierre de Molière. Ici Sganarelle (valet de Dom Juan) prend la parole le premier. A première vue, celui-ci fait l'éloge paradoxale du tabac - thème inhabituel et surprenant - il ne commence donc pas par nous dévoiler directement le sujet de la pièce. [Cette éloge se révèle être une éloge implicite de la comédie, il suffit pour la comprendre de remplacer le mot « tabac » par celui de « comédie » pour la comprendre]. Ici l'auteur utilise donc deux procédés de l'ordinaire théâtrale: il piège le

mesure où il ne « récupère » pas les conquêtes de Dom Juan, ce que pouvait faire un valet moliéresque. Sganarelle mêle souvent les dictons populaires, fait preuve d'un certain bon sens, mais reste assez maladroit. En revanche, l'éloge paradoxal (le célèbre éloge du Tabac, acte I, scène 1) est un procédé littéraire complexe. Il s'adresse à Gusman, le valet de Done Elvire de manière déconcertante : loin de profiter de ce moment d'égalité (en tant que valet), pour s'exprimer dans le patois qui apparaît

« droit chemin ». Ainsi les trois dernières scènes du dernier acte allie le surnaturel et la religion qui ont une très fine barrière. La pièce de Dom Juan commence par un éloge paradoxal du tabac, un produit interdit par les dévots, car en effet par pure provocation le dramaturge a substitué le mot « théâtre » au mot « tabac » pour choquer le corps religieux. Sganarelle : Sganarelle se veut défenseur de la religion mais sa défense laisse beaucoup à désirer. En effet dans l'Acte I scène

mesure où il ne "récupère" pas les conquêtes de Dom Juan, ce que pouvait faire un valet moliéresque. Sganarelle mêle souvent les dictons populaires, fait preuve d'un certain bon sens, mais reste assez maladroit. En revanche, l'éloge paradoxal (le célèbre éloge du Tabac, acte I, scène 1) est un procédé littéraire complexe. Il s'adresse à Gusman, le valet de Done Elvire de manière déconcertante : loin de profiter de ce moment d'égalité (en tant que valet), pour s'exprimer dans le patois qui apparaît

détachement : "Eh oui, sa qualité ! la raison en est belle, et c'est par là qu'il s'empêcherait des choses!" Ces répliques sont allucives. Il parle vaguement sans donné de détails et qui ont pour effet d'alerter Gusman. Il détourne le sujet en parlant du Tabac et donc fait attendre Gusman. Le fait de présenter deux serviteurs au début nous montre qu'on entre dans une comédie et il se tutois, d'origine simple et ce n'est pas le héros qui apparait dès la 1er scène mais il est reporter à la 2ème. Ton tragique

de Dom Juan. Problématiques possibles sur l’acte I scène 2 de Dom Juan : 00:57 ♦ Quelle est la fonction de cette tirade ? ♦ Quel portrait de Dom Juan se dégage de cette tirade ? ♦ Dans quelle mesure l’éloge de l’inconstance de Dom Juan est­il paradoxal ? ♦ Dom Juan apparaît­il comme un personnage de comédie ou de tragédie ? ♦ Comment Dom Juan parvient­il à justifier le libertinage ? I – La vision de l’amour de Dom Juan Dans cette tirade, Dom Juan expose sa vision de l’amour. Après avoir vivement

-Rythme binaire = équilibre -Lexique mélioratif (superlatifs) -énumération -effet produit sur le narrateur : émerveillent traduit par des adverbes (« admirablement ») qui sert de commentaire. - adverbes finaux « vraiment », « visiblement » = éloge III.1) - groupe et le bien général l’emportent sur l’intérêt individuel (l.19 « il n’est rien là…») -émulat° source de plaisir (l.22 « leur zèle est stimulé par le plaisir qu’ils en retirent ») 2) -association des valeurs médiévales et de la

valets de comédie - un registre comique attendu b) des rapports ambiguë av son maître n’est ils pas fasciné par lui relation entre sg et dom juan rapport de fascination Éloge du tabac sur un sujet un sujet trivial il imite son maître ds sa critique social + parole. C’est justement le rôle de prologue sur le tabac = montrer effort de faire c dj. Ccl la scène crée bien un horizon d’attente sur l’extraordinaire perso de dj avec description du pers ambiguë mais également sur le caractère