éloge Paradoxale L Envie

classique sont abordés ; la religion, le roi. DJ., un héros qui incarne le mal ; « grand seigneur méchant homme » (oxymore). Personnage ambiguë, athée, libertin. Sganarelle : violence de vocabulaire pour choquer les spectateurs, attiser leur curiosité. Éloge du tabac ; à la mode à l'époque, vient d'Amérique. Possible clin d'oeil de Molière : tabac = théâtre ? Il s'adresse au public ? – – ▶ Scène choquante, personnage de Sganarelle ambiguë ; fière d'être le valet de Dom Juan, même s'il le critique (prend

tentaculaire ; or Sartre évoque ici cette ville sous les auspices de la nature : le ciel y est « pur comme une bête sauvage » (l.15-16), il semble être protecteur (l.16), « au cœur de la cité, vous êtes au cœur de la nature » (l.23). Ceci semble en effet paradoxal. Par ailleurs, Sartre dit ne se sentir nulle part plus libre « qu’au sein des foules de New-York », voilà un autre paradoxe. Enfin, il qualifie cette ville de « légère » (l.25) ; rien « n’opprime ni ne déprime » (l.27). On constate que J.-P. Sartre

Descartes non lu nous détermine, que nous le voulions ou non ». Mais Descartes n’est pas seul. Nous autres, Modernes, nous sommes aussi les disciples de Jean-Jacques Rousseau. Rousseau non lu nous détermine que nous le voulions ou non. Ce qui est très paradoxal. Car Rousseau est la brebis galeuse, le dissident, l’homme mal embouché du siècle des Lumières. Au moment où le sentiment d’être modernes, c’est-à-dire supérieurs conduit ses contemporains à remplacer le terme statique de civilité par celui, dynamique

des vers 1-4 (texte B). En quoi sont-elles harmonieuses? 5. Quel est le rythme habituel du décasyllabe? S'appuie-t-il au vers 7 (texte B)? Quel effet en résulte? 6. L'espoir «réveill[e]» le poète (texte B, v. 7), mais en quoi ce réveil est-il paradoxal? Comparez sur ce point avec Pétrarque. • Vers le Bac (oral) Selon vous, Scève copie-t-il Pétrarque, ou crée-t-il un vers qui lui est propre? 110 2' partie. Lapoésie Amour: les joies et les peines La poésie amoureuse se développe entre deux

plus de toutes ses qualités, une valeur rare et inestimable dans ce monde de libertinage : la vertu d’une honnête femme qui est de« s'attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d'une femme, qui est d'aimer son mari et d'en être aimée ». Singulier éloge du mariage « d’inclination » en un siècle où le mariage d’intérêt est la règle ! Mais pour atteindre ce bonheur, il ne suffit pas de se prémunir du mensonge des hommes, il convient tant «  il était difficile de conserver cette vertu » de se préserver

IV), mais également la mélancolie auquel des auteurs comme Verlaine, Laforgue ou bien Baudelaire le suggèrent et évoquent dans leurs œuvres. Ainsi, Baudelaire dans « Brumes et Pluie » à travers les termes « trempés de boue » mentionne le caractère paradoxal et déprimant du changement de saison entre celles dites « endormeuses » (hiver, automne) et l’été. A cela s’ajoute l’aspect d’ordure. En effet, la boue est tout autant comparée à la saleté, particulièrement les déchets de la ville de Paris comme

l’assassin qui faire taire les théories pour écouter la musique, y compris celle des mots ? Dans le quintil, majuscule en début de vers, mètre de six vers et rimes comme si Prévert nous montrait qu'il peut écrire en vers réguliers mais qu'il n'en a pas envie ! Prévert ne se désignait pas lui-même comme poète. Il a tardivement signé ses œuvres. Il reste anonyme même si tout le monde sait que c'est l'écrivain du Groupe d'Octobre. Comment peut-il, dans ces conditions, faire des arts poétiques dans Paroles

demeure est superbe ; un dorique règne dans tous ses dehors ; ce n’est pas une porte, c’est un portique : est-ce la maison d’un particulier ? est-ce un temple ? le peuple s’y trompe. Il est le seigneur dominant de tout le quartier. C’est lui que l’on envie, et dont on voudrait voir la chute ; c’est lui dont la femme, par son collier de perles, s’est fait des ennemies de toutes les dames du voisinage. Tout se soutient dans cet homme ; rien encore ne se dément dans cette grandeur qu’il a acquise, dont

Il décide alors de le rester et défendra son honneur. Ce « je ne capitule pas » fait de lui le personnage pivot de la pièce. Après avoir tenter de devenir rhinocéros, il se rebelle. Son attitude est plus ou moins héroïque, puisqu’il avait très envie d’être rhinocéros, mais sans succès, il conservera son originalité malgré lui. Il y a là une résistance mais avec un aveux d’échec. Ce dernier passage donne l’impression que Ionesco fait du théâtre engagé. (Merci robert.) Écriture : Extrait

Didier ÉRASME Éloge de la Folie Encomium Moriae (du grec : Môrias Enkomium, Mωρίας Εγκώμιον) En latin : Stultitiae Laus Écrit en 1509, dédié à son ami Thomas More. Publications : Paris (?), Strasbourg (1511), Anvers (1511), Bâle (1513) Traductions : dans les grandes langues européennes, dès le XVIe siècle. La traduction qui suit est celle publiée par Thibault de Laveaux à Bâle (1780) Didier ÉRASME [de Rotterdam] Né à Rotterdam vers 1469, mort