éloge Les Regrets Du Bellay

L’éloge et le blâme au XVIème siècle Les blasons Le blason est une forme poétique datant du début du XVIème siècle dont le but est, au départ, de célébrer les qualités d’un objet que l’on apprécie. Il devient très vite un éloge au corps, au visage ou à un détail physique qui évoque la femme aimée, ce qui correspond au renouveau du culte du corps à cette époque. Cet esprit se retrouve également dans la peinture dans laquelle on célèbre la beauté de la femme par la pureté de ses traits, la

surtout à respecter les animaux. Œuvre principale: Les Essais. Du Bellay: souhaite transformer la langue française, « barbare et vulgaire », en une langue élégante et digne, une langue de référence et d’enseignement. Œuvre principale: Les regrets. Erasme : il a milité pour la paix en Europe, il dénonce la guerre entre Chrétiens. Œuvre principale: Eloge de la folie. 4. Quelques extraits: a) Joachim Du Bellay: Les Regrets, 1558, sonnet XXXII ‘Je me ferai savant en philosophie, En mathématique

poésie élégiaque: l’amour, la mort, la fuite du temps et la nature. Parmi ces sept poètes nous trouvons Joachim Du Bellay dont sa principale œuvre Les Regrets (1558) répond à toutes les exigences des principes de la pléiade. Plus particulièrement avec son sonnet 138 dans lequel il évoque en alexandrins la ville de Paris. Il sera donc intéressant d’étudier l’image de Paris que donne Du Bellay dans ce sonnet (PROBLEMATIQUE). Dans un premier temps il semble instructif d’étudier l’éloge qu’il fait de la ville

Du Bellay est un poète français né en 1522 à Liré en Anjou, et mort en 1560 à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes reconnus. De 1553 à 1557, il devient secrétaire du cardinal Jean du Bellay, cousin de son père et célèbre diplomate, avec qui il partira pour Rome. Le poète découvre alors la ville mythique de l'Antiquité, qui n'est plus que ruines, faste et débauche. Le regret s'empare du poète, sentiment qui lui inspirera ses plus

de Catherine de Medicis : cette lettre s’adresse à la suivante de celle-ci, Hélène de Surgères. Le thème est celui de l’amour, déjà traité dans Les Amours (œuvre majeure du poète) en 1552. Il fait partie des 7 poètes de la Pléiade, avec Joachim de Bellay, avec lequel il écrivit le manifeste Défense et Illustration de la langue française, ainsi que autres artistes de la Pléiade. A cette époque, l’archétype de la poésie est la poésie grecque et romaine. L’idée est donc d’enrichir et renouveller la langue

A savoir ( Les regret sonnet 91, 1556 de Du Bellay ; Le Beau Tétin, 1535 Clément Marot ; Blason de l’œil, 1547 de Saint-Gelais ; La courbe de tes yeux, 1926 de Paul Eluard ; Le blason, 1960 de George Brassens ). Ces textes ont pour thème commun la femme aimée. Il s’agit de savoir quelle image de la femme propose ces textes. Nous verrons d’abord l’image élogieuse de la femme et dans un second temps qu’elle est l’expression du lyrisme. Tout d’abord, tous ces textes font une éloge de la femme aimée

au 14e et dernier, qui sert alors de chute. Du Bellay et la forme du sonnet Pourquoi Du Bellay écrit-il un sonnet ? L’ensemble des poèmes du recueil des Regrets sont des sonnets. Pour plusieurs raisons. D’abord parce que la contrainte de la forme fixe, et très brève, est un jeu et un défi pour le poète, qui doit parvenir à de très fines variations d’un poème à l’autre. Mais aussi parce que c’est une forme héritée de l’Italie. Or Du Bellay est un poète de la Pléiade, et il veut donner à la littérature

Sequence 1 : La figure du poète au fil du temps Lect. Ana. 1 : Joachim du Bellay, « J’aime la liberté … », 1558. Du Bellay = écrivain humaniste. Connu pour « Défense et illustration de la langu française, 1549 ». Manifeste de la Pléiade. Le poème provient de son recueil « Les Regrets », écrit entre 1553-1557 à Rome. Du Bellay exprime sa déception après une expérience personnelle malheureuse. C’est un sonnet de 2 quatrains (rimes embrassés) et 2 tercets (rimes suivies et embrassés) et en

s’agirat donc de voir en quoi derrière l’apparence de l’éloge on peut déceler une satire acerbe. Lire l’oeuvre Dans un premier temps nous verrons que le poète utilise l’énonciation d’une conversation sans intéret, ce qui lui permet de developer un éloge paradoxal d’une cérémonie d’enterrement et également de critiquer férocement un milieu social bien defini. 1.Une conversation bavarde et creuse 1.Enonciation d’une conversation mondaine Enonciation de la 1er pers du sing Enumération des personnages

première permet de poser quelques jalons sur la poésie classique et l’évolution vers la modernité. Elle cherche à construire une passerelle entre l’univers des élèves (représenté ici par Ridan et Grand Corps Malade) et le patrimoine littéraire (Du Bellay, Vigny et Verlaine) en conduisant une réflexion sur les notions d’héritage et de renouvellement. La seconde porte plus directement sur la modernité en poésie avec l’étude de la Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France de Cendrars