éloge Lenteur

rappelant le Rousseau orateur. Mais que souligne cette analyse de soi ? 2) L'analyse de sa dualité : a) Réunion des contraires : « Deux choses presqu'inalliables s'unissent en moi »… b) Phrase 1: 1) Opposition : « lenteur… vivacité » : renvoi a un être sensible, émotif (< Romantisme), « pensée laborieuse ». 2) Réunion : « jointe à », Rousseau à conscience d'être complexe, tant de contrastes + l'idée que l'harmonie peut naitre de cet assemblage : « dans la conversation

étudierons la stratégie amoureuse de Dom Juan. I. L’éloge de l’infidélité : La tirade de D.J s’ouvre par une question qui sert à poser le problème : “ Tu veux qu’on se lie (...) personne?” 1. Opposition fidélité/infidélité : Pour faire son éloge de l’infidélité, Dom Juan utilise le pronom indéfini “on” qui lui permet de généraliser son propos et le pronom personnel “nous” qui permet d’impliquer les lecteurs/spectateurs. Pour évoquer la fidélité D.J utilise deus champs lexicaux : - Celui

fils et je vous trouve bien heureux de vous voir un garçon comme cela ». Monsieur Diafoirus saute alors sur l'occasion de faire le portrait de son fils, un portrait qui, bien sûr, veut être un éloge, pour ne pas dire un panégyrique . · Comment, à travers cet éloge paradoxal de Thomas Diafoirus par son père, Molière moque-t-il tous les médecins ? · Dans une longue tirade, M. Diafoirus dresse un portrait élogieux de son fils dont les pseudo qualités

crois que » : le poète ne se prend pas au sérieux. Effet ridicule, comique. (Scarron qui réécrit l’Enéide avec des mots vulgaires Le Virgile travesti)- Le poète fait le choix de vanter ce que l’opinion commune condamne d’ordinaire (éloge paradoxal de la paresse).- Eloge : il le déclare : « Je consacre un bel hymne », vers 7. Il y a une exagération (ironie). - Emploi de termes mélioratifs pour qualifier la paresse : « ce plaisir » - Amplification par utilisation d’une hyperbole : « si doux et si charmant

(adjectifs appréciatifs, éléments de négation, comparaisons et figures) Synthèse n°2 : L’argumentation peut être également présente dans la description. Le portrait positif d’un homme, composé d’adjectifs mélioratifs et de figures grandissantes, est un éloge. Le portrait négatif d’un homme, avec un vocabulaire et des commentaires péjoratifs, est un blâme. Les personnages ont parfois un statut symbolique : Claude Gueux représente ici tous les condamnés, victimes d’une justice abusive et injuste,

« Chanson d’automne » dans le même recueilFaisait voler la grive à travers l'air atone,imparfait : durée, descriptionoiseau : la grive, petit oiseau« air atone » : adjectif : a/ tone : sans tonalité donc sans force, mornedonc impression de monotonie, de lenteur : image de l’automne Et le soleil dardait un rayon monotonetoujours imparfaitsoleil : joie, force, été ici différent en automnedardait : les rayons du soleil frapperayon : force, ici antithèse car « monotone » : un seul ton ( cf atone : sans ton)

Cnd_Lit#198_Placed.inddCanadian Literature 198 / Autumn 200848 Généralement laconique, le titre d’une œuvre littéraire se veut évocateur pour celui qui en prend connaissance, et acquiert une épais- seur sémantique, voire un niveau métaphorique pour celui qui a terminé la lecture de l’œuvre. Le titre Les grandes marées ne fait pas exception. Mais il a ceci de particulier qu’une fois le livre lu, il revêt une signification qui se situe aux antipodes de son sens

est là où il s’arrête, un jour, un mois, une saison. S’enraciner n’est pas dans la nature des nomades, la mobilité est l’essence même de leur vie. C’est d’elle et de leur capacité d’adaptation que dépend leur survie. + Sur éloge de la lenteur voir avec Sylvain tesson (éloge de l’énergie vagabonde), Pierre Rabhi, + les deux éditos du monde.

Mais elle a les yeux ouverts = empêche de dormir Thème lumière + que sommeil = idée d’éternité. A travers ses yeux, il découvre un monde nouveau (cf. v.8 érotisme, torture, les se complètent) 2) Eloge des rêves de cette femme . Force de la femme : pluriels, image des soleils, douceur, lenteur de l’image lié à l’éternité . Femme crée une nouvelle lumière : opposition à l’ombre de S1 = pas d’engloutissement, expansion . Rêve = effet sur le poète « parler sans n’avoir rien à dire » fluidité

au long du texte la solitude à une simple maladie menant à un destin fatal : la mort. La solitude se mêle cette fois ci au thème de la mort. Les malades sont ici les seuls responsables de leur état et de leur souffrance par l’isolement. De plus la lenteur du temps qui passe nourrit la maladie. Le poète additionne langueur, solitude, maladie et souffrance ce qui provoque selon lui une mort certaine. Cette œuvre est belle et touchante. Pour terminer cette anthologie, j’ai choisi une fable de Jean