éloge De Phèdre

pièce plutôt complexe, dont le sens n’est pas toujours évident. On a donc besoin d’étudier ce texte plus en détails pour en comprendre les significations. Par exemple, dans la scène d‘exposition, Sganarelle semble faire un éloge du tabac, alors qu’en fait il se trouve que c’est un éloge du théâtre. De même, on pourrais croire que dans son œuvre, Molière approuve totalement la façon dont Dom Juan traite les femmes (infidélités, absence du moindre respect, hypocrisie…), alors que c’est exactement le contraire

sérieuse porte à la réflexion voire les larmes, la tragédie même suscite l’effroi et ces sentiments n’ont pas de raison de s’émousser avec le temps. L’horreur ou le chagrin semblent devoir perdurer là où le rire s’éteint.  Ex : la malédiction de Phèdre fait toujours frémir tandis que les infidélités conjugales d’un vaudeville quelconque nous paraissent désuètes. II) Pourquoi certaines comédies perdurent-elles ? 1) Symboles d’une époque  Elles sont le témoignage d’une époque. On les regarde avec

| | 5 | |  | | | |Eloge et blâme : |Les formes de l'éloge et du blâme |Groupement |Textes littéraires |Oral : | |

c’est un synonyme de fable). * fable en prose : Phèdre * fable en vers : La Fontaine * Didactique = Qui a pour but d’instruire. * Contes de fées = registre merveilleux, donc principalement destiné aux enfants. * le pouvoir & la force des fables = distraire tout en faisant passer un message au lecteur. * Saynète = courte pièce de théâtre. * Hymne = un chant / un poème qui fait un éloge. * Prolixe = bavard * Persuader = agir

rien faire» → La Fontaine flatte Louis XIV, en affirmant qu'il est indispensable au fonctionnement de l'Etat «v32: Entretient seule tout l'Etat» Cependant certains indices nous laisse dire que la Fontaine a un double objectif, ce qui nous donne un éloge paradoxal du roi. CONCLUSION Les membres et l'estomac se distingue des autres fable en partie par sa forme. La fontaine fait l'apologie du Roi, en cherchant a s'attirer ses faveur mais l'autre interprétation de la fable nous montre qu'il

Table des matières I. Le contexte de l’écriture du Phèdre 2 1) La démocratie athénienne 2 2) La rhétorique des sophistes 2 3) Socrate 2 II. Les grands thèmes de Phèdre 3 1) L’âme 3 2) Le monde des Idées (intelligible) 3 3) De l’amour à la philosophie 4 III. La parole dans le Phèdre 4 1) Les formes de la parole 5  Le dialogue 5 Le caractère théâtral de la parole 5 Les paroles mises en abyme 5  Les trois discours 6 Le discours de Lysias 6 Le premier discours

de Clèves a perdu sa tranquillité d'esprit et sa vertu, elle est sous la dépendance d'un homme qu'elle croit être un séducteur volage (l.3 et 11). Enfin, Madame de Clèves connaît la mauvaise conscience et le remord (parallèle entre le personnage de Phèdre de Racine et La Princesse de Clèves). Elle est au même titre que les autres femmes de la cour, un être vulnérable et faible. Néanmoins, elle fait preuve d'une grandeur d'âme exceptionnelle car elle a su triomphé de sa passion du début à la fin du

pièce sérieuse porte à la réflexion voire les larmes, la tragédie même suscite l’effroi et ces sentiments n’ont pas de raison de s’émousser avec le temps. L’horreur ou le chagrin semblent devoir perdurer là où le rire s’éteint. Ex : la malédiction de Phèdre fait toujours frémir tandis que les infidélités conjugales d’un vaudeville quelconque nous paraissent désuètes. II) Pourquoi certaines comédies perdurent-elles ? 1) Symboles d’une époque Elles sont le témoignage d’une époque. On les regarde avec

de la mesure des vers, discours direct comme une petite scène théâtrale. Humour du fabuliste A. Parodie : mime le discours de l'éloge qui flatte les notables, cf structure du discours : adresse, titre de courtoisie, phrases exclamatives, éloge (figure mythique du Phenix, gradation rythmique). Parodie également le discours du sage à la fin alors que le renard n'est pas un modèle de vertu (sentence avec sujet indéfini, présent de vérité générale). B. Jeux de mots : double sens du mot Maître

c'est pour lui un signe de vérité pour éviter le bavardage inhérent au discours philosophique. Le risque est de dissoudre les propos, de ne plus connaître la question du début ( ce qui se passe dans le Phèdre: Phèdre est suivi par Socrate puis lui lit le parchemin qu'il avait sous le bras, une éloge de l'amour à Lysias, ce que reproche alors Socrate au discours, c'est que 'est un discours bavard), celui qui écoute trop de bavardage risque d'avoir l'esprit troublé. Le bavard c'est celui qui ne sait