éloge De La Tolérance

Médiations. Freud L’avenir d’une illusion, P.U.F. Freud Malaise dans la culture, P.U.F. Russell Eloge de l’oisiveté Editions Allia Balzac Le chef d’oeuvre inconnu G.F. n° 365 Kandinsky Du spirituel en art Gallimard Freud Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci Gallimard LA RAISON ET LE REEL Russell Science et religion Folio Albert Jacquart Eloge de la différence et Moi et les autres Points Poche Ionesco La leçon Gallimard JP Maury Comment la terre

(traduction de la Bible en langue vulgaire par Erasme en 1516). L’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté (ce que l'on appelle le « libre arbitre »), de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité sont de ce fait indissociables de la théorie humaniste classique. Louise Labé a fait partie de ce courant INTRODUCTION Louise Labé : Louise Labé est une poétesse française. Elle est surnommé « la

l’emploi de la litote dans la fin du § :     « manière indirecte [….] qui n’était ni la moins périlleuse ni la moins utile. » *Les valeurs pour lesquelles agissent les philosophes cités par C. sont résumées dans les derniers mots du texte  : « raison, tolérance, humanité. » Ce groupe ternaire, à cadence majeure ( 2+3+4) constitue une véritable devise qui exprime l’idéal des Lumières. D’ autres valeurs sont invoquées au fil du texte : la vérité est opposée à l’erreur (l.2,9). Dans les lignes 28 et 29 C

pieuse ambition d’être les maîtres ». Dans la lettre VI il s’attaque aux presbytériens : intolérants, trop stricts. Enfin, dans a lettre VII, il ne se prononce peu les sociniens pourtant proche de son idéal déiste. Voltaire admire profondément la tolérance anglaise concernant la liberté des cultes, mettant fin aux guerres de religion. Il déclare qu’«un Anglais peut aller au ciel par le chemin qui lui plaît» et ajoute : «S’il n’y avait en Angleterre qu’une religion, le despotisme serait à craindre ;

effet des problèmes de mœurs et de consciences graves, qui dépassent les grivoiseries de Collé ou les tons farcesques de Carmontelle, ouvrant sur des considérations désenchantées à propos de la société et de son évolution et sur un plaidoyer pour la tolérance. » En effet l’adultère est vu comme un déshonneur à l’époque et est considéré comme immoral. Il est assimilé à un crime passible d’un lourd châtiment pour la femme. Au XIXème mais également en 1778 moment de la pièce, l’adultère est puni pénalement

s'adresse directement à Bougainville. Dans ce texte, Diderot souligne l'opposition entre deux nations, les qualités des Tahitiens devant les défauts de la culture blanche. Nous verrons en quoi ce discours présente les méfaits de la civilisation, fait un éloge de la vie naturelle et sur quoi repose sa force oratoire. I) Le réquisitoire A) Une civilisation européenne critiquée Dès le début, le ton est assez vif notamment par l'apostrophe: « Et toi, chef des brigands » ce qui suggère l'introduction

intangibles et les certitudes aveugles. Il s'attaque à tous les dogmatismes, qu'ils soient religieux ou philosophiques, ne figeant jamais son scepticisme, son doute méthodique sur des certitudes ou des absolus. En pleine guerre de religions, il affiche sa tolérance et son aversion pour les luttes fratricides entre catholiques et protestants, considérant que la complexité des situations ne peut se régler par l'opposition binaire. S'il croit en Dieu, il considère que l'homme ne peut spéculer sur sa nature et

sociaux qui conduisent à la misère // dénonce la misère sociale des ouvriers et de leur exploitation. •Descriptions pathétiques pour sensibiliser à la misère sociale. VOLTAIRE : •Traité sur la tolérance (1763) propose une défense du condamné Calas et une réflexion militante sur la tolérance. •intervient dans l’affaire Calas (milieu du 18ème s.) pour faire réviser le procès et obtenir un arrêt déclarant Calas innocent du meurtre de son fils catholique. •Dans sa Correspondance (Lettre à

: Innocence et bonheur et Un monde de liberté et de tolérance et Un monde où la vie est simple Diderot par la voie d'un vieillard, dénonce ici une société colonisatrice, injuste, immorale, violente face à un monde libre, simple, et tolérant aux autres.      Ce texte s'appuie sur toutes les ressources de l'art oratoire pour faire triompher son point de vue, celui de l'esprit des lumières, c'est à dire le combat pour la liberté, la tolérance et l'égalité.      Diderot propose à Rousseau une morale

de mensonges (chapitre 19), la vieille et Cunégonde de viole. En plus de ces malheurs là, Voltaire parlera de la guerre dans cet œuvre, et ce problème reviendra plusieurs fois. Il est plus présent surtout au chapitre 3, où Voltaire en fait un éloge ironique. Il souligne l’absurdité de cette guerre, qui est faite sans réel motif : il ne donne jamais aucune raison à cette guerre. Il montre aussi grâce à des hyperboles et des exagérations l’horreur que cette guerre apporte : beaucoup de blessé