éloge De La Tolérance

regarde + loin que l'endroit ou il vit "embrassait l'univers comme sa ville" (L6) : capable de se décentrer -> éloge de Socrate : pronom tonique de rappel qui insiste et monstre supériorité "lui" (L4); comparatif de supériorité "plus pleine et plus étendue " (L5) ->Socrate opposé avec le reste des H. + champs lexical de l'immensité "pleine" et "étendue" => Socrate : modèle de la tolérance et de l'ouverture -> typique du XVIe on embrasse l'H. dans son universalité • période L18-22 : composée d'une

porter sur ma culture un regard critique ? Comment juger objectivement de ma culture si c’est à partir d’elle que je porte mes jugements de valeur ? Ne suis-je pas juge et partie dans cette évaluation ? Suis-je alors condamné à un relativisme dont la tolérance risque de me conduire à accepter, dans ma culture et dans celle des autres, des comportements qui engendrent la souffrance de ceux qui y ont part ? Sinon, pourrais-je échapper à une attitude ethnocentriste qui me fait regarder comme barbares des

son époque. • Écrit de nombreux ouvrages, entre 1500 et 1506, il publie Adages et le Manuel du chevalier chrétien. Ceux-ci proposent une réforme de l’Église catholique fondée sur la charité. • Il est un pionnier dans la défense de l’esprit de tolérance. Il croit que l’individu peut s’améliorer grâce à l’éducation et à la piété. • Son œuvre principale est l’Éloge de la folie, dans celui-ci, il tente d’y réconcilier les idées de Socrate, de Salomon et du Christ. Thomas More • Cet homme politique

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De nombreux habitants de la ville d’Aix-En-Provence sont réunis aujourd'hui, afin de célébrer l'ouverture du nouveau musée. Mr le Maire s'apprête à faire un discours pour l'inauguration et un éloge de l’objet de ce musée : la philosophie des Lumières. Mes chers concitoyens, Nous voici réunit aujourd'hui en ce lieu pour l'inauguration du musée "Le Siècle des Lumières". J'imagine qu'un grand nombre d'entre vous savent de quoi je veux parler. Mais pour les autres, je suis ici pour éclaircir le sujet

-ou plutôt : si l’État c’est nous, nous avons bien le devoir d’au moins nous préserver du malheur. Les hommes doivent être heureux, parce qu’à mesure qu’ils le sont il leur est plus facile de bien agir. Il FAUT donc créer un environnement où la tolérance ne soit pas un vain mot, refuser la violence, la misère, tous les obstacles au bonheur, pour qu’enfin chacun jouisse de “petits riens”, de ces minuscules caresses de la vie qui la rendent savoureuse. Un bon citoyen est un bon jouisseur. Le droit

sens et son éloge du plaisir opposé à la morale en font la figure effrayante d'une sauvagerie retrouvée. Mais Bérenger n'oppose rien de précis à cette figure du mal dont on entend le discours et dont on voit les effets sur le corps même de Jean. Bérenger n'opposent rien au totalitarisme, malgré le troupeau de rhinocéros qui écrase tout sur son passage. Il n'utilise que des concepts vagues reflétant une pensée humaniste plutôt convenue, reposant sur des lieux communs. À force de tolérance puisque

carnavalesque. Une fois de plus l’auteur fait un faux éloge de l’autodafé. Le lecteur perçoit cette cérémonie à partir du point de vue de Candide qui associe l’autodafé à une « cérémonie », à un « spectacle » : le mot vient du latin et signifie « donner à voir ». Le verbe « donner » fait penser à un cadeau qu’on offre au peuple : un « bel autodafé », oxymore qui participe à l’ironie. L’utilisation des adjectifs « bel » et « grande » accentue le faux éloge. Comme dans tout spectacle, on a des acteurs, les

constituée de divers peuples, unis par leur foi chrétienne + quelques Juifs qui « diffèrent grandement » des autres Juifs car respectent le Christ et aiment leur nation (intégration juridico-politique et non assimilation religieuse → incitation à la tolérance religieuse) → pb pas étrangers en tant que tels mais étrangers non-naturalisés : doivent cesser d'être des étrangers le plus rapidement possible pr préserver paix sociale, d'où naturalisation rapide Habitants prodiguent de "grandes largesses" (de

et qui lui permet de détenir tous les droits sur les hommes, qui comme il est dit précédemment, sont naïfs et se laissent ainsi abusés quant à leur droits et leur libertés. La religion catholique est donc, contrairement au message originel de tolérance et d’amour, une religion violente et qui reposent sur les croyances d’hommes naïf. De plus, nous pouvons relever aux lignes 1 et 4 « flammes » et « terre » qui appartiennent tout deux au champ lexicale de l’enfer et qui sont dans le texte tout deux