éduquer Ou Punir

la discréditer auprès de ses élèves, « cette pédagogie de grand air est stupide » (ligne 10), et à se mettre en valeur. Mais Isabelle réussit habilement à retourner la situation, à le contredire, en réutilisant ses propres mots et expressions : « Punir une élève qui regarde au plafond ! » (ligne 28). Elle utilise l’argument de l’Inspecteur pour en faire quelque chose de positif, « tout ce qui est faute dans une classe devient une initiative et une intelligence au milieu de la nature » (lignes 24/25)

respecter leurs engagements et à justifier leurs décisions.[1] 2 positions sur l’apprentissage de la citoyenneté : - Il s’agit d’une reprise en main des jeunes pour éviter des déviances. Il faut faire apprendre des règles et les faire appliquer → punir. Cela repose sur l’idée que les familles n’éduquent plus comme il faut. Partenariat avec la police, éducation civique, plus de surveillance… - Il s’agit d’apprendre à vivre ensemble, à être responsable de son travail. Il ne s’agit plus de réactiver

épreuve. Chapitre 12: une anecdote: Gargantua dupe des visiteurs avec son écurie "factice". Facéties  qui mettent en relief l'esprit de l'enfant capable de ridiculiser les adultes. Le jeune prince possède donc des qualités d'esprit avant même d'être éduqué. Chapitre 13: La dernière invention de Gargantua (de l'art d'utiliser un oison pour s'essuyer les fesses) émerveille Grandgousier. Chapitre 14: Un premier précepteur sophiste : maître Thubal Holopherne, rabâchage et écriture gothique ( le gigantisme

centres fermés pour adolescent, l'auteur, tente de rappeler que depuis le XIXème siècle, toutes les expériences de renfermement se sont révélées nombreuses et négatives, et qu'ainsi la solution n'est surtout pas d'enfermer les délinquants ou de les punir, mais plutôt de préférer la protection et l'insertion.  3) Le paratexte du document 3 nous informe sur l'auteur, Emmanuelle Bouchez, et sur la forme et le contenu du texte. Il s'agit ici d'un programme de télévision de la chaîne France 3, extrait

incontournable. Sorti brillamment de l’Ecole normale supérieure de Paris, Foucault a développé, autour de la théorie du pouvoir, son propre système philosophique qui se traduit parfaitement dans ses œuvres remarquables, parmi lesquelles Surveiller et Punir, Les Mots et les choses, Histoire de la sexualité, etc.. La philosophie foucalienne se différencie de celle de Kant, en ce que le philosophe français, fort de connaissances historiques, a combiné des idées métaphysiques avec les faits réels. Une véritable

but de se faire objet pour plaire. C'est en cela que l'éducation joue un rôle primordial, car une fille pourrait manifester les mêmes caractéristiques qu'un garçon si elle était élevée de la même manière. On éduque la fille dans le but qu'elle s'intègre dans le monde féminin alors qu'on éduque le garçon dans le respect de la virilité masculine. C'est en dénonçant cet asservissement, ce déterminisme, que l'auteur contribue à la libération de la femme puisque si cette dernière prend conscience de

beaucoup d’importance à cette fonction et après s’être préoccupé des conditions de sa naissance, de son nom, de son alimentation, de son hygiène et de ses vêtements jusqu'à l’âge de 3 ans, il prend alors des dispositions pour que son fils soit élevé et éduqué de 3 à 5 ans « dans toutes les disciplines qu’il convient », c'est-à-dire « comme tous les petits enfants du pays ». Les chapitres 11 et 12 sont consacrés à cette enfance heureuse et joyeuse ( jeux, farces etc… ) en liberté, proche de la nature et

germes de vertu. C’est à l’éducation de les faire croître. La bonne éducation va consister à se réjouir de la vertu et à se chagriner du vice, donc prendre plaisir à et ressentir de la douleur à. D’où l’importance de l’éducation, car un homme mal éduqué est quelqu’un qui prend plaisir au vice. Pour bien comprendre le bien, Aristote nous dit qu’il y a trois notions : -le beau, c’est-à-dire le bon -l’utile, c’est-à-dire le pratique -l’agréable, c’est-à-dire le présent Tout cela représente le

et la constitution dans les tribunaux de comités de défense, feront évoluer la législation,telle la loi de 1912, qui instaure le premier tribunal pour enfants . Maintenant l' enfant prend une place de victime à protéger plutôt que de coupable à punir . Cette rencontre des deux siècles n' aura que peu d 'impacte dénonce violemment dans un livre de Louis Roubaud écrit en 1925 Les enfants de Caïn. Il faudra attendre la rébellion des enfants de Belle -île – en- Mer, pour qu' en 1934,la presse menée

PUNIR ________________________________________ Bibliographie • Platon, Protagoras, 323d-324c. • Hobbes, Léviathan, II, 28 (ed. Sirey). • Rousseau, Contrat Social, II, V (ed. GF). • Beccaria, Des délits et des peines, (ed. GF). • Foucault, Surveiller et punir, NRF, Gallimard. ________________________________________ Introduction Le sujet est libellé sous forme de verbe isolé : il renvoie à une action, et oblige à construire la problématique à partir de cette seule action. Il faut