éduquer Ou Punir

Platon élabore ainsi une théorie exemplaire de l’élite basé sur une sélection très sévère des individus à travers une éducation draconienne et une société quasi totalitaire accès sur un triple objectif : _ empêcher les divisions de la société _ éduquer et rééduquer constamment les individus dans l’optique d’une adaptation à l’ordre idéal de l’univers _ dégager les meilleur d’entre eux pour éclairer les autres et diriger la société Platon pose ainsi donc les bases d’une société anti-individualiste

prytanes pour éventuellement expulser des perturbateurs et il y avait aussi une très grande autodiscipline du citoyen Athénien. §4. Démocratie et art oratoire (rhétorique) Dans l’antiquité, les gens de bonne famille, les gens bien né, étaient tous éduqués à rhétorique, à la maitrise du langage, maitrise du vocabulaire technique. A Athènes on distingue deux périodes : Au Vème siècle, la rhétorique est réservée aux classes les plus élevées de la population, les eupatrides. Au Vème siècle cette rhétorique

des Muses pour ce qui est de l'âme. - Oui, c'est cela. - Est-ce que nous ne commencerons pas plutôt à les éduquer par l'entretien des Muses que par la gymnastique ? - Si, bien sûr. - C'est dans le domaine des Muses, dis-je, que tu places les discours, n'est-ce pas ? "- Pour moi, oui. - Or des discours l'espèce se divise en deux : l'une des vrais, et l'autre des faux ? - Oui. - Et il faut éduquer 377 avec les deux espèces, mais d'abord avec les discours faux ? - Je ne comprends pas, dit-il, en quel

n’envisageait pas la presse — il n’existait encore ni radio, ni télévision, ni internet — autrement que  libre.  C’est essentiellement sur ces deux piliers — éducation et médias — que reposait l’espoir qu’une  opinion publique éclairée constituée de sujets éduqués permettrait de nous approcher de plus en plus  de l’idéal d’une démocratie participative.  La pensée critique, on le devine sans doute maintenant, est une composante importante de ce projet  dans la mesure où elle apprend précisément certaines des vertus que la démocratie présuppose de 

certaine façon, l’Internationale symbolise donc la première rencontre des peuples européens. C’est une préfiguration particulière de ce que deviendra l’assemblée européenne. 3) Échec des pacifismes La II ème Internationale doit en principe éduquer les peuples à dépasser les nationalismes, par un projet de guerre à la guerre grâce aux grèves... Mais le projet s’effondre l’été 1944au profit d’un retour du nationalisme. C’est cet échec de l’International qui crée un grand schisme dans le mouvement

des causes et de la constitution originelle du droit 3, de l'équité, de la loi et de la justice dispose l'homme à faire de la coutume 4 et de l'exemple la règle de ses actions, de telle sorte qu'il pense que l'injuste est ce qui a été la coutume de punir, et le juste ce dont il peut produire un exemple d'impunité et d'approbation, ou (comme les juristes qui usent de ce faux critère de justice le désignent par une expression barbare) un précédent; comme les petits enfants qui n'ont pas d'autre règle

j’ai dit, c’est que les cinquante ans n’ont pas été négatifs. Effectivement, comme vous venez de le dire, à l’indépendance du Mali, on était 3 millions. Aujourd’hui, nous sommes 14 millions. Il faut les nourrir, il faut les habiller, il faut les éduquer. Il faut les soigner. R.F.I. : Mais ça, on le savait qu’on serait ce nombre-là. Les projections ont fait état de cette évolution démographique. A.T.T. : D’accord. Mais ce que les projections n’ont pas dit, c’est que les évènements qui allaient limiter

n’envisageait pas la presse — il n’existait encore ni radio, ni télévision, ni internet — autrement que  libre.  C’est essentiellement sur ces deux piliers — éducation et médias — que reposait l’espoir qu’une  opinion publique éclairée constituée de sujets éduqués permettrait de nous approcher de plus en plus  de l’idéal d’une démocratie participative.  La pensée critique, on le devine sans doute maintenant, est une composante importante de ce projet  dans la mesure où elle apprend précisément certaines des vertus que la démocratie présuppose de 

n’envisageait pas la presse — il n’existait encore ni radio, ni télévision, ni internet — autrement que  libre.  C’est essentiellement sur ces deux piliers — éducation et médias — que reposait l’espoir qu’une  opinion publique éclairée constituée de sujets éduqués permettrait de nous approcher de plus en plus  de l’idéal d’une démocratie participative.  La pensée critique, on le devine sans doute maintenant, est une composante importante de ce projet  dans la mesure où elle apprend précisément certaines des vertus que la démocratie présuppose de 

n’envisageait pas la presse — il n’existait encore ni radio, ni télévision, ni internet — autrement que  libre.  C’est essentiellement sur ces deux piliers — éducation et médias — que reposait l’espoir qu’une  opinion publique éclairée constituée de sujets éduqués permettrait de nous approcher de plus en plus  de l’idéal d’une démocratie participative.  La pensée critique, on le devine sans doute maintenant, est une composante importante de ce projet  dans la mesure où elle apprend précisément certaines des vertus que la démocratie présuppose de