éduquer Ou Punir

 Cahiers libres, Editions La Découverte, 2001.PETINARAKIS J-P., GENTILI F., SENORE D., La discipline est-elle à l’ordre du jour ? CRDP. Lyon. 1997. PRAIRAT E., La sanction : petites médiations à l’usage des éducateurs , L’Harmattan, 1997.PRAIRAT E., Eduquer et punir , Presses Universitaires de Nancy, 1994.PRUME P., La punition au collège , Poitiers, CRDP, 1991.Quand les élèves posent problème , Cahiers pédagogiques N°366, septembre 1998.TESTANIERE J., « Chahut traditionnel et chahut anomique », Paris, Revue

l’apprentissage mais au fur et à mesure des années, l’éducation de ces derniers est devenue synonyme de punition. L’innocence de l’enfant est remplacée par sa culpabilité. On le considère comme un criminel et des mesures sont mises en place pour le punir. En 1860, le nombre de colonies pénitentiaires augmente afin de pouvoir y placer les enfants et les adolescents. Les conditions de ces centres deviennent de plus en plus dures : il n’y a plus de dortoirs mais des cellules grillagées, les jeunes délinquants

la lutte contre la corruption passe par la mise en place d’une politique de combat axée sur des moyens juridiques, organisationnels et administratifs. Cependant il serait aussi important de penser à éduquer depuis la base sur ce phénomène et ces conséquences. Si aujourd’hui, les enfants sont éduqués dans l’honnêteté, et la probité, plus tard la corruption, disparaîtra de notre société. Conclusion La corruption dénote en général une faiblesse structurelle des institutions nationales et

de l'intérieur, M. Nicolas Sarkozy ont annoncé la création de centres fermés pour les adolescents, comme si l'on pouvait éduquer un délinquant en l'enfermant. Depuis le XIXe siècle, toutes les expériences d'enfermement ont échoué. En fait, les lois ont oscillé entre peine et éducation, suivant le regard porté sur les jeunes, parfois considérés comme des enfants coupables à punir plutôt que comme des enfants victimes à protéger et à insérer JEUNES DÉLINQUANTS ENTRE ÉDUCATION ET PUNITION LE FANTÔME

On peut par exemple facilement repérer dans chaque document la façon dont l'enfant est toujours jugé innocent, montré comme une victime de ces centres pénitenciers, pointé du doigt comme un criminel et stigmatisé comme un enfant coupable qu'il faut punir en l'excluant de la société. Dans le poème de Jacques Prévert par exemple, il emploie une anaphore avec des appellations péjoratives que l'on peut même regroupé dans le champ lexical de la criminalité « Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! », sans

fausse complètement leur relation. II. Une relation père-fils faussée En effet, pour pouvoir se construire et forger son caractère, un fils copie les attitudes et les actions de son père et s’inspire de ses succès. De même, un père doit éduquer son fils en lui expliquant les règles morales et sociales de la vie. Dans le cas présent, Thésée montre à Hippolyte un modèle que ce dernier ne pourra jamais atteindre car le roi se veut unique : il ne remplit pas son rôle d’éducateur. De plus, dans

écrite en vers  Propos ou mise en situation : Par son drame passionnel, Phèdre est l'évocation d'une vision fataliste de l'être humain victime de ses passions. • Lien avec le contexte : Racine, dans la tradition de la tragédie grec, veut éduquer, purger les hommes de leurs passions et de leurs vices (catharsis) en suscitant la pitié et la terreur. À l'apogée du classicisme il rédige cette pièce qui deviendra l'une des plus grandes tragédies classiques. C'est la démonstration des thèmes classiques

Même quand sa fille, Aïssatou, devienne enceinte elle est plus occupée de ce qu'elle va faire au niveau de son éducation. Même le père de son petit-enfant, a des aspirations terminer l'université. Une autre mère aura déshérité sa fille, où bien le punir sévèrement. Ramatouyle est une parent romanesque dans cette aspect. Elle n'est pas une parent de son époque, vu qu'elle embrasse la modernité. Elle accepte fille est devenu enceinte, elle le prend comme une problème d'une nouvelle âge. Ramatouyle

partir de 1860 les moyens utilisés afin de lutter contre la délinquance chez les mineurs changent. En effet on aura plus recours a l'éducation mais à la répréssion. On ne cherche plus a éduquer l'enfant, durant cette période on considere [considère] les mineurs délinquants comme étant des etres a [êtres à] punir tant qu'ils recommencent. Cela sera le cas jusqu'en 1912, date ou l'on verra les premiers changements. C'est grace a la IIIe République et ses valeurs qui comportent entre autres l'éducation

repose sur l’existence de micro pouvoirs comme ceux qui s’exercent au sein de la famille, travail. Le pouvoir politique s’appuie sur des relais et nous sommes tous source de pouvoir. B- Surveiller punir En 1975, Foucault écrit son livre et explique que la prison détient le monopole du pouvoir de punir, une idée développée au XIX . On s’interroge sur le passage des supplices à la prison correspondant à la transformation des modes d’exercice du pouvoir. On passe de la toute-puissance du roi à un