éduquer Ou Punir

de l'intérieur, M. Nicolas Sarkozy ont annoncé la création de centres fermés pour les adolescents, comme si l'on pouvait éduquer un délinquant en l'enfermant. Depuis le XIXe siècle, toutes les expériences d'enfermement ont échoué. En fait, les lois ont oscillé entre peine et éducation, suivant le regard porté sur les jeunes, parfois considérés comme des enfants coupables à punir plutôt que comme des enfants victimes à protéger et à insérer. JEUNES DÉLINQUANTS ENTRE ÉDUCATION ET PUNITION LE FANTÔME

67 La culture CORRIGÉ Introduction Dans ce texte, Rousseau entend démontrer que l’homme n’est pas seulement la seule créature qui soit susceptible d’être éduquée : il est tout et entièrement ce que son éducation fait de lui. Certes on éduque l’homme, si on « façonne les plantes par la culture » et si on dresse les animaux ; mais faut-il alors en déduire que l’éducation est à l’homme ce que la mise en culture est aux plantes, et le dressage aux animaux ? Non pas : ici, l’homme ne se contente

pénitence " jusqu’à ce que son crime (ou son délit) soit " pardonné " ou bien peut-il être " rééduqué " ? Il nous faut savoir si l’on doit punir un acte ou un individu. De la réponse qui sera donnée dépend la question de l’utilité de la prison et du temps de la détention. Punir un acte implique que l’on sanctionne le fait par " l’expiation " ou la rétribution. Punir un homme, c’est considérer que celui-ci peut être corrigé et réinséré. En ayant aboli la peine de mort, nous avons envisagé un après à la

privés. Isocrate condamne les lois répressives qui, pour lui, constituent un constat d’échec : elles répriment le crime mais ne le préviennent pas. La loi écrite n’est pas un rempart suffisant pour cela, il ne faut pas seulement songer au moyen de punir les coupables mais aussi au moyen d’empêcher les hommes de se rendre coupables. Il faut contenir les citoyens par le châtiment, mais aussi par la surveillance. * Critias : il évoque le temps où les hommes menaient une vie désordonnée/ Les méchants

qu'elles n'ont pas de faiblesses physiques. Les 12 dieux de l'olympe, mais il en existe d'autres, chacun d'entre eux a une fonction propre comme Athéna la déesse de la guerre, ces dieux interviennent dans la vie des mortels, ils peuvent les sauver,les punir et combattre avec eux. Il y a un culte au niveau de la famille mais aussi au niveau de la cité. Dans le calendrier politique, il y a des jours réservés aux cultes des dieux. La Religion romaine, pas de mythologie et la religion n'est pas anthropomorphique

sur des négociations. 1861 – 1876 : Phase dominée par la « Droite Historique ». Celle-ci ne va pas mettre en place la décentralisation... Il y a un fort déphasage entre le pays réel et la classe dirigeante. Elle met en place l'idée qu'il faut éduquer le peuple (école obligatoire...). L'influence de l'Église sur le peuple est très importante. La gauche prend le pouvoir en 1976. Elle pense qu'il faut instruire les gens pour arriver à l'objectif de la démocratie (gauche non révolutionnaire). Elle

d’individualisation des juges ; mais aussi un compromis avec le Droit intermédiaire en reprenant le principe de légalité criminelle entre autres. De 1810 au lendemain de la seconde guerre mondiale. Influence de l’école néoclassique : /Guizot/Rossi/Ortollan Punir ni plus qu’il n’est utile ni plus qu’il n’est juste. L’idée de base de cette école néoclassique est que le délinquant le devient volontairement, il choisit son statut de délinquant, ainsi, il en découle la responsabilité morale du délinquant d’où l’idée

pas encore dans l’éducation le rôle prépondérant qu’elle assumera à partir du Moyen-Age en occident. Le maître d’école est chargé d’un secteur spécialisé de l’instruction, il équipe techniquement l’intelligence de l’enfant, mais ce n’est pas lui qui éduque. L’essentiel de l’éducation, c’est la formation morale, celle du caractère, du style de vie. Le “maître” n’est chargé que d’apprendre à lire, ce qui est beaucoup moins important.” L’historien peut alors conclure ainsi : “L’association, qui nous paraît

Questions contemporaines Séance 4 : La justice pénale La justice pénale fait partie de la justice judiciaire (qui se distingue elle-même de la justice administrative). Elle a pour mission de juger les infractions et les punir selon les règles du code pénal. C'est un aspect de la justice parfois très médiatisé (quand sont concernées des célébrités ou quand les crimes en cause ont particulièrement choqué l'opinion) et souvent très sensible (du fait des forts enjeux humains pour les personnes concernées

sciences de l’éducation ont fait route commune d’un point de vue historique *2 III. Mais une grande variété de domaines non scolaires au cœur des sciences de l’éducation *3 Par rapport aux autres espèces, à la naissance les enfants ont besoin d’être éduqué afin de devenir des « hommes », des sujets de la société. L’éducation est ce qui permet de passer du petit homme biologique à l’être humain de la société. Notre société repose sur l’éducation, scolaire mais pas que ! C’est très difficile de se rendre