éduquer Ou Punir

l’aiment plus. Comment punir ? : Pas de généralisation possible : chaque punition doit être individuelle. Claude Halmos se refuse à donner une "recette miracle". 1. La punition est indispensable à partir du moment où l’enfant connaît la règle et sait que s’il transgresse, il sera puni. 2. Elle ne doit pas être violente. Pas d’humiliation : c’est l’acte qui doit être sanctionné pas l’enfant. Fessée et gifle : Dramatisation médiatique qui fait douter le parent de ses compétences à éduquer, d’être un bon parent

injuste, et «et rendre le mal pour le mal est injuste ». Il vaut mieux selon lui, punir sans commettre l’injustice.  La fuite de Socrate serait un tort envers les lois. Tout citoyen doit être lié aux lois. Cette convention est nécessaire, car si chacun garde la possibilité de ne pas obéir à certaines lois, alors il n’y a pas de sécurité et on revient à l’état de nature. De plus, les lois permettent au citoyen d’être éduqué, elles rendent possible la vie en société. Le citoyen leur doit tout. Il serait

Un accident responsable de 50 victimes sera plus inacceptable que 10 accidents en provoquant 5 chacun, etc. Il faut donc éclairer et éduquer l'opinion publique. Les médias y contribuent ou devraient y contribuer car, malheureusement, le « droit à l'information » se traduit le plus souvent par la dissémination de « mauvaises » informations de nature à dés-éduquer l'opinion publique. La justice y contribue dans la mesure où ses décisions apparaissent cohérentes à l'opinion publique et où ses attendus

n’empêche pas Isabelle d’être la plus apprécié. De plus, on remarque qu’Isabelle est l’incarnation d’une maîtresse bouleversant les normes jusqu’alors très respectée. Elle préfère donner un côté ludique à l’éducation et elle ne ressent pas le besoin de punir ses élèves. Lui,

mercenaires serviraient à reconstruire une société nouvelle et stable dans les pays en guerre mais pour cela des armées et pouvoir éduquer des combattants. Le problème est que les gouvernements ne sont pas tous d’accord sur cette privatisation car si les casques bleus deviennent des mercenaires cela pourrait entraîner de la violence inutile. Il y des procédures pour punir les crimes les crimes de guerre dans les armées mais ceci ne s’appliquent pas aux mercenaires. Ils ne peuvent donc pas être punis

l'Intérieur, M. Nicolas Sarkozy ont annoncé la création de centres fermés pour les adolescents, comme si l'on pouvait éduquer un délinquant en l'enfermant. Depuis le XIXe siècle, toutes les expériences d'enfermement ont échoué. En fait, les lois ont oscillé entre peine et éducation, suivant le regard porté sur les jeunes, parfois considérés comme des enfants coupables à punir plutôt que comme des enfants victimes à protéger et à insérer. JEUNES DÉLINQUANTS ENTRE ÉDUCATION ET PUNITION LE FANTÔME

c’est bien en effet attribuer à l’autre la responsabilité de ses actes et même si cette attribution est constitutivement prématurée, même si elle est, stricto sensu, au moment où elle est faite, un leurre, puisque l’enfant n’est précisément pas déjà éduqué, elle contribue à son éducation en créant chez lui progressivement cette capacité d’imputation par laquelle sa liberté se construit. Celui qui a commis la faute n’aura peut-être pas agi de son plein gré, il aura peut-être été le jouet de l’influence

Fustier « Les corridors du quotidien » 55. P. Gaberan « La relation éducative, un outil professionnel au service d'un projet humaniste » 56. P. Gaberan « Cent mots pour être éducateur: dictionnaire pratique du quotidien » 57. T. Gordon « Eduquer sans punir » 58. G. Halimi « La cause des femmes. Le temps des malentendus », Gallimard 59. C. Hamonet « Les personnes en situation de handicap » 60. C. M. Herrera « Les droits sociaux », Que sais-je ? n°3847 61. A. Hidalgo « Travail au bord

l'Intérieur, M. Nicolas Sarkozy ont annoncé la création de centres fermés pour les adolescents, comme si l'on pouvait éduquer un délinquant en l'enfermant. Depuis le XIXe siècle, toutes les expériences d'enfermement ont échoué. En fait, les lois ont oscillé entre peine et éducation, suivant le regard porté sur les jeunes, parfois considérés comme des enfants coupables à punir plutôt que comme des enfants victimes à protéger et à insérer. JEUNES DÉLINQUANTS ENTRE ÉDUCATION ET PUNITION LE FANTÔME

années 1860-1890 les mineurs délinquants se voient enfermés dans des prisons qui peuvent être comparés à des colonies. Le but premier est de les punir de leurs actes, que ce soit en les faisant souffrir physiquement à l'aide du travail ou psychologiquement en les enfermant dans des cellules surpeuplées. Il n'y a alors aucuns dispositifs visant à les éduquer et à leur faire comprendre pacifiquement qu'il y a des règles à respecter pour vivre en communauté. Au contraire, ils sont contraints d'endurer